1. Retour en Tunisie (2)


    Datte: 26/04/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: dominic47, Source: Xstory

    ... pour l’alimenter.
    
    Après l’encas, Sana lui libère les mains pour la séance de sport. Elle enfile alors une brassière de sport, un short cycliste, une paire de baskets et tous les jours, elle doit pédaler sur le vélo d’appartement. De vingt minutes au début, elle en est rendue à faire au bout de trois semaines deux heures tous les matins. Elle en sort épuisée, mais heureuse de s’occuper, avec pour récompense d’être en forme. Elle est d’ailleurs agréablement surprise de sa persévérance dans l’effort, ainsi que la tonicité nouvelle de son corps.
    
    Elle passe enfin sous la douche avec toujours une Sana qui la lave entièrement. Honteuse au début, après quelques jours, elle se prête plus facilement aux mains qui ne manquent pas d’aller dans tous les recoins de son intimité. Rattachée, le repas du midi est à l’identique de celui du matin comme celui du soir, elle est dépendante de sa collègue pour ingurgiter les mets. Sa fierté est fortement mise à mal, progressivement, elle s’accoutumait à cette perte de dignité.
    
    Et puis un matin, au bout de quinze jours, Inès la débarrasse de sa ceinture avec les liens de ses poignets. Elle estime qu’elle n’a plus besoin de ces artifices pour respecter les consignes. Elle doit toujours être assistée de Sana tout au long de la journée, mais l’après-midi, elle devra en plus courir huit kilomètres, le tapis prévu à cet effet lui est dévolu, et ensuite elle pourra maintenant avoir quartier libre. Lire, nager dans la piscine ou encore se ...
    ... prélasser sur les transats. Evidemment, si elle s’aperçoit qu’Ophélie ne respecte pas ses ordres et notamment en profite pour se toucher, jour ou nuit, elle lui fera payer.
    
    Pour entretenir cette obéissance, la Tunisienne sait qu’il faut que la Française y trouve son compte, et surtout pour un début de formation aussi dérangeant. Elle doit lui procurer du plaisir pour atténuer cette perte de liberté. Et quoi de mieux pour faire accepter une contrainte aussi forte que de l’alterner avec une jouissance, un orgasme qui fait tout oublier ? Aussi le soir de la première journée, Inès est arrivée dans la chambre où les deux filles étaient pour l’une occupée à lire et l’autre allongée sur son lit, elle voulait s’entretenir avec Sana des dispositions d’Ophélie. Satisfaite des réponses qu’elle entend, elle se tourne alors vers sa nouvelle protégée :
    
    — Tu as été une bonne fille, tu mérites une récompense... Tu vas avoir le droit de jouir.
    
    Mets-toi sur le ventre et remonte bien ton p’tit cul, lui ordonne-t-elle ensuite... Tu es superbe comme ça.
    
    Va me chercher le harnais, dit-elle ensuite à Sana. Après, tu m’attendras dans ma chambre.
    
    Ophélie fronce les sourcils, inquiète, elle est stupéfaite des paroles de la Tunisienne, et surtout, elle a l’impression d’être une patiente chez son médecin qui lui prescrit du Spasfon pour atténuer son mal de ventre alors qu’il ne s’intéresse pas aux causes. Si son mari lui avait dit ne serait-ce que le tiers de cela, elle l’aurait envoyé paitre en ...
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