Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante (9)
Datte: 16/08/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: sifeminin, Source: Xstory
... raisonnable, au-delà du supportable ; bref une jouissance mémorable. Pendant ce temps Geneviève caressait des joues de sa victime consentante, vu la jouissance de Patricia et ce qu’elle nous a dit, je pense que sincèrement qu’elle avait besoin de jouir une bonne fois aujourd’hui. Muriel a fini par estimer que le cunnilingus était terminé, c’est avec beaucoup de douceur qu’elle s’est retirée de l’entrejambe de sa partenaire. Elle lui a laissé les jambes écartées quelques instants, histoire que ça prenne un peu l’air, avant de lui refermer sa douce et longue doudoune. Je pense que son manteau allait rapidement sentir très fort la femme comblée.
Après ce que venait de vivre Patricia il ne s’agissait pas qu’elle prenne froid. Geneviève et Muriel sont restées à son chevet dix bonnes minutes, avant que leur patiente ne décide de se relever. Mes deux amies se sont chargées de l’aider à se redresser, Patricia nous a roulé une gamelle à chacune d’entre nous, pour nous remercier de ce qu’elle venait de vivre. Nous nous sommes serrées très fort entre nous.
— Alors est-ce que vous avez aimé, ce que nous venons de vous faire vivre ?
— Je ne sais pas si vous avez déjà pris votre pied comme ça dans votre vie, mais je tenais à ce que vous vous souveniez de notre rencontre.
Patricia était très émue par les propos de Geneviève.
— Vous ...
... savez je crois que je n’ai jamais autant joui de ma vie, et je suis consciente que vous allez bientôt me quitter.
Dans son regard je lisais de la tristesse, sans doute de la tristesse à se retrouver à son train-train quotidien, de la tristesse à attendre que son mari rentre le dimanche après-midi de la chasse, de la tristesse à se retrouver de nouveau à sa totale merci. J’avais vraiment l’impression qu’elle était malheureuse de nous quitter et de se retrouver dans sa petite vie sans intérêt, d’après elle.
— Patricia, il va falloir que nous nous revoyions, voilà pourquoi je vous laisse ma carte de visite.
— J’ai une maison pas loin d’ici.
Notre promeneuse s’est empressée de composer le numéro, pour laisser une trace de son téléphone sur celui de Geneviève. Nous étions en train de nous quitter et on pouvait discerner des petites larmes dans les yeux de Patricia, cela me faisait de la peine de la laisser. Au fond de moi, j’aurais bien aimé que notre trio se transforme en quatuor, car Patricia était vraiment très belle et en plus il n’y a pas à dire elle adorait faire l’amour. J’aurais bien vu Muriel s’occuper d’elle, vu le regard de Geneviève, mon petit doigt me dit qu’elle fera tout pour que l’on se revoie toutes les quatre.
En espérant que ce chapitre numéro neuf vous plaise autant que les huit premiers.
Gros bisous à vous