1. Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante (9)


    Datte: 16/08/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... à imaginer qu’un si gros sexe, qu’un si long sexe puisse être dissimulé sous une robe. Maintenant il était tout entier dans ma bouche et ma langue s’amusait avec les nervures veineuses, qu’il y avait tout le long de son sucre d’orge. Maintenant, pour ne pas se sentir inutile, Geneviève était en train de me caresser les mollets ainsi que l’arrière des cuisses. Il n’y a pas à dire elle savait y faire et cela me faisait beaucoup, mais vraiment beaucoup d’effet.
    
    J’étais en train de réaliser que nous avions des gilets jaunes au milieu de la forêt, et que s’il y avait eu un chasseur, il ne pouvait pas nous louper en train de nous gouiner. En même temps, je trouve que cela mettait du piquant à ce que nous étions en train de faire. Geneviève n’arrêtait pas de me déconcentrer, maintenant ses mains étaient remontées jusqu’à mon minou et rapidement elle a pu constater combien il était poisseux. Comme d’habitude, cela ne la dérangeait pas, ses mains fraîches entre mes jambes me faisaient plein de frissons, d’autant qu’elles se promenaient dans des endroits indiscrets. Avec la précision de ses caresses, la patronne me déconcentrait de la fellation que j’étais en train de pratiquer à Muriel. J’adorais la taille du sexe de ma partenaire, il était gros et solide, mais le plus agréable, c’était le parfum féminin qui l’entourait. Je prenais tout mon temps à laisser monter et descendre ma bouche sur ce pieu, j’essayais de lui augmenter les sensations avec ma langue en me faufilant dans le ...
    ... moindre espace.
    
    Au début j’avais posé mes mains sur les planches des marches et ces dernières étaient un peu souillées de verdure. Je mourais d’envie de maintenant poser mes mains sur les cuisses de Muriel, mais je n’osais pas de peur de lui salir ses bas. Pendant ce temps-là, les mains de Geneviève ne se privaient pas de me caresser l’abricot et mon entre fesses. Il arrivait que quand ses mains fraîches changent d’endroit, elle me fasse sursauter mais ce n’était toujours que du plaisir. J’avais l’impression d’être une obsédée sexuelle, car je ne quittais pas le sexe que j’étais en train de sucer, j’étais imperturbable, j’étais en train de devenir folle de gourmandise de ce sexe qui ne demandait qu’à me pénétrer où que je sois. Je crois que ce qui me plaisait surtout, c’est de savoir qu’il était dissimulé dans un tanga et sous une robe ou une jupe. Personne n’aurait pu se douter qu’il y avait un superbe sexe la sucer sous la robe, quand on voyait Muriel. Seuls moi et Geneviève savions qu’il y avait un braquemart de belle taille, et surtout bien ferme prêt à nous donner du plaisir, entre les jambes de cette superbe femme.
    
    J’avais la bouche pleine de ce sexe, en même temps Geneviève était en train de me donner du plaisir, en introduisant ses doigts dans ma fente, mais aussi en me caressant, malgré cela j’arrivais à entendre le bruit de la faune environnante. Vu que j’avais la tête sous la robe de notre chauffeur, j’étais comme dans la nuit dans les bois, c’était à moi ...
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