Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante (9)
Datte: 16/08/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: sifeminin, Source: Xstory
... un peu plus haut que mi-cuisses, de véritables cuissardes, et c’est à cet endroit que commençait sa minijupe. Ce n’est pas bien de dire ça, mais si notre nouvelle amie n’avait pas eu sa doudoune, on aurait vraiment cru qu’elle voulait allumer tous les hommes de la région, ou à défaut, dans les bois, tout le gibier. Geneviève l’avait fait allonger et Patricia était vraiment très obéissante, je crois surtout qu’elle désirait aller plus loin, je crois qu’elle voulait que toutes les trois nous occupions d’elle, je crois surtout que son homme avait une petite tendance à l’ignorer.
Une fois bien installée, Patricia attendait de voir à quelle sauce elle allait être mangée, rapidement Geneviève s’est chargée de la débarrasser de sa culotte en lycra. Il n’y a pas de doute notre nouvelle amie en attendait beaucoup plus, Geneviève a commencé par sentir la culotte, elle en a fermé les yeux de plaisir. Après s’être rassasiée de son plaisir olfactif, elle nous a tendu la culotte que nous aussi nous voulions sentir. C’était effectivement un plaisir à sentir, il n’y a pas à dire Patricia était désireuse, sa culotte poisseuse était là pour en témoigner. Geneviève a tendu la main à Muriel pour que cette dernière vienne glisser sa langue entre les jambes accueillantes de Patricia. Bien évidemment, ma maîtresse bien particulière ne s’est pas fait prier pour aller lui manger l’abricot, il n’y a pas à dire Muriel était une artiste pour ce qui était de manger un minou. Mon ami qui me faisait ...
... tant de bien était maintenant entre les jambes de Patricia, les mains posées sur ses cuissardes à quelques centimètres de sa toison bien entretenue. Quand je voyais cette superbe femme, manifestement abandonnée par son mari, je me disais que ce dernier devait être un sacré bourrin.
J’étais en train de sentir la culotte de Patricia, quand Muriel commença à lui brouter le minou, cela a été plus fort que moi, il a fallu que je lèche cette pièce de tissu. Avant d’être prise en stop par Geneviève et Muriel, jamais je ne me serais retrouvée à sentir la culotte d’une femme, le pire là c’est que j’y prenais du plaisir. Pendant dix bonnes minutes, Muriel s’est occupée de faire la toilette intime de notre promeneuse, à ce moment-là, Geneviève a demandé à mon amie particulière de cesser, pour que je vienne prendre la place. Décidément ce week-end j’en aurai vu et mangé du minou..., c’est en manquant d’assurance que j’ai pris la place de Muriel. Cela sentait très bon la femme, rien qu’avec l’odeur, j’avais envie de m’engouffrer entre ses jambes si accueillantes. Bien que Muriel lui ait déjà fait une belle toilette, le minou de Patricia était de nouveau tout trempé de cyprine. C’est avec gourmandise que ma langue est entrée en contact avec ses poils pubiens, avant de me retrouver en contact avec son clitoris très sensible. C’était très agréable car Patricia était très sensible à ce que j’étais en train de lui pratiquer, maintenant elle était en train de soupirer de plaisir.
De son côté ...