1. Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante (9)


    Datte: 16/08/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    Salut c’est votre folle de lycra.
    
    Nous étions donc sur le point de partir nous promener dans les bois avec la tenue adéquate, surtout voyante. Un grand merci à Karl Lagerfeld qui avait fait la promotion des gilets jaunes qui peuvent sauver des vies. Arrivées dans le bois, nous avons pris les grands chemins, en faisant attention à ne pas faire de bruit et surtout ne pas marcher sur les branches mortes, pour ne pas attirer l’attention du gibier. Muriel ne pouvait pas résister à faire des pauses tous les deux cents mètres pour me voler un baiser, à chaque fois Geneviève nous donnait des tapes amicales sur les fesses, pour nous inviter à continuer notre balade. C’était vraiment très agréable, car nous n’entendions strictement rien, exceptés le bruit des oiseaux et quelquefois des insectes ou du gros gibier au loin que l’on ne voyait pas. Je me demandais toujours comment les rapaces arrivaient à se faufiler entre les arbres avec l’envergure qu’ils avaient. Par moments on entendait un pivert qui cherchait un ver dans le tronc d’un arbre, en tapant sur ce dernier.
    
    Geneviève nous a fait découvrir une chose très agréable, quand il y a eu du vent, elle nous a dit de nous mettre à faire un câlin à un arbre, pour sentir ce dernier bouger avec le vent. C’était une façon comme une autre de communier avec la nature. Tout le long du chemin il y avait des sortes de cabanes en hauteur, cela permettait aux chasseurs de voir le gibier de loin, cela ne dépassait pas les deux mètres de ...
    ... haut. Je ne sais pas ce qui est passé par la tête de Geneviève, mais elle a invité Muriel à s’asseoir en haut de ce promontoire. Elle l’a invitée à se débarrasser de sa culotte, puis à écarter les jambes avant de me dire de venir faire une fellation à notre chauffeur. Depuis le temps que Muriel m’embrassait et me collait des mains entre les jambes c’est vrai que j’étais un peu excitée. Quand j’ai vu dans quel état était Muriel, j’ai compris que cela ne lui ferait pas de mal de se faire sucer. Je ne me suis pas fait prier pour passer à l’action, c’est ainsi que j’ai commencé à gravir quelques marches pour arriver à la hauteur de ce dard si désireux.
    
    Heureusement que nos robes ne craignaient pas grand-chose, car quand j’ai vu sur quoi Muriel s’était assise, le bois était un peu humide ; avec en plus un tout petit peu de mousse, cela le rendait glissant. Il était évident que quand elle allait se relever, tout allait rester collé à sa robe. J’étais maintenant à la hauteur de son sexe, il n’y avait pas de doute, il avait un gros besoin d’affection buccale. J’étais un peu gênée de me mettre à faire ça sous les yeux de Geneviève, mais c’était sur une idée de sa part et elle avait l’air très heureuse de me voir passer à l’action. Je commençais à prendre vraiment beaucoup de plaisir à sucer le sexe de Muriel, et en savourer l’odeur et le goût. J’ai essayé de trouver mes marques, pour être la mieux installée possible, pour lui faire une fellation dans les règles de l’art. J’avais du mal ...
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