Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante (9)
Datte: 16/08/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: sifeminin, Source: Xstory
... nous nous habillons comme ça pour éviter les bavures des chasseurs.
Cela a fait sourire la promeneuse.
— En fait, aujourd’hui vous n’avez rien à craindre, car les chasseurs, dont mon mari fait partie, sont en train d’opérer à une dizaine de kilomètres d’ici.
— Tous les week-ends, il part chasser.
— Tous les week-ends, il me laisse toute seule à la maison.
— Je me sens un peu délaissée.
— Voilà pourquoi je viens me promener tous les week-ends dans les bois toute seule.
J’avais l’impression que Geneviève l’a trouvée très belle et il n’a pas fallu longtemps pour que notre patronne prenne un ascendant psychologique sur elle. Au moment où cette promeneuse tendait la main à Geneviève, cette dernière lui a fait la bise, une bise bien tendre. Je pense que cette femme devait savoir ce que nous étions en train de faire, mais cela ne l’a pas dérangée, quand je suis venue lui faire la bise, suivie de peu par Muriel.
— Je me présente je m’appelle Patricia, j’ai trente-cinq ans.
— J’habite dans le village voisin.
Quand j’ai constaté que Geneviève était en train de lui remettre des cheveux à sa place, que cette femme se laissait faire, j’ai compris que c’était dans la poche pour notre patronne.
— Alors comme ça, vous étiez en train de vous butiner l’abricot.
— Vous êtes des gougnottes.
Geneviève ne lui a pas laissé le temps de formuler une autre phrase, elle venait de se mettre à l’embrasser, Patricia avait l’air parfaitement consentante. La patronne a ...
... pris quelques instants pour se débarrasser de son gilet jaune, puis nous fîmes de même en glissant ce dernier dans une de nos poches.
— Je vous confirme Patricia, nous venons de nous faire du bien en pleine nature.
Maintenant, en plus de l’embrasser, Geneviève était en train de la caresser à travers sa superbe doudoune toute douce. Patricia avait l’air très réceptive, j’avais même l’impression que c’était en train de l’exciter. Puis Geneviève a décidé que nous allions nous déplacer, toutes les quatre, un peu plus loin. Ça y est, les quatre gonzesses avaient repris le chemin dans les bois, Geneviève et Muriel étaient très collantes autour de Patricia.
Quand nous sommes arrivées à hauteur d’un tas de bois déjà coupé, prêt à être chargé dans un camion, vous savez ce bois qui finit en stère pour vos cheminées. Je ne vous parle pas des grumes qui finissent en planches pour faire des meubles, là il y avait une dizaine de stères. Geneviève, aidée de Muriel, se sont chargées de bouger quelques rondins pour pratiquement en faire un petit lit. Une fois leur travail terminé, Geneviève a invité Patricia à venir s’asseoir sur ce tas de bois. Il n’y a pas de doute, notre nouvelle amie savait ce qui allait se passer, la patronne l’a aidée à bien s’installer. Moi qui étais face à Patricia, je constatai que ses bottes étaient sans fin, c’est la maîtresse des événements qui s’est chargée de détacher quelques pressions de sa longue et douce doudoune. Les bottes de Patricia remontaient ...