1. Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante (9)


    Datte: 16/08/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... d’essayer de deviner d’où venaient tous ces bruits, à qui les attribuer. Par moments il y avait un petit coup de vent qui donnait vie aux feuilles en hauteur, mais qui faisait aussi grincer des arbres qui se frottaient les uns contre les autres. Commençant à être experte dans la fellation de Muriel, je savais maintenant que dans peu de temps elle allait me balancer la purée au fond de la gorge. N’ayant pas trop de prise sûre de son côté elle ne donnait que de petits coups de reins à chaque fois quand son sexe s’enfonçait dans ma bouche.
    
    — Je crois, Coralie, que tu ne vas plus pouvoir te passer de notre chauffeur.
    
    — Nous sommes en pleine nature, et tu es en train de donner et de prendre du plaisir.
    
    — Je crois qu’à chaque fois qu’il y aura un pont, nous partirons en week-end toutes les trois.
    
    Pendant que j’étais en train de sans doute donner les derniers coups de langue sur le sexe de Muriel, j’étais en train de voir quand nous pourrions planifier un prochain pont toutes les trois. Ça y est, Muriel m’a rappelée à ce que j’étais en train de faire, je sentais son sexe se contracter, le pire c’est qu’avec le traitement que m’infligeait Geneviève, moi aussi j’étais sur le point de jouir. Les premiers jets commençaient à arriver au fond de ma gorge, ils étaient chauds, légèrement salés, mais pour rien au monde, je n’en aurais gaspillé une goutte. Quand Geneviève a saisi la pointe d’un de mes seins, pour le titiller, je n’ai pas pu résister, moi aussi j’ai fini par ...
    ... prendre mon pied juste après Muriel. Décidément, nous étions un trio qui ne pensait qu’à baiser, mais en même temps nous profitions de la vie mais surtout de la nature à ce moment-là. La patronne avait raison le long week-end qui était en train de prendre fin, j’allais m’en souvenir très longtemps. En même temps, je lui faisais confiance, je savais qu’elle serait capable de nous proposer de tels week-ends à chaque fois que l’occasion se présenterait.
    
    À notre grande honte, pendant que nous étions en train de nous refaire une petite beauté, une grande et superbe femme est arrivée sur le grand chemin boisé. Elle ne devait pas être loin du mètre quatre-vingts, elle portait des bottes en cuir, mais surtout une superbe doudoune hyper longue, qui descendait jusqu’à mi-mollet. Cette femme était vraiment attirante et désirable, et elle était en train de s’approcher de nous. Elle avait un grand panier en osier, sans doute pour ramasser les champignons, ce qu’elle nous a confirmé plus tard. Elle était presque arrivée à notre hauteur quand elle s’est mise à nous adresser la parole.
    
    — Bonjour Mesdames.
    
    — Je vois que vous profitez pleinement de la saison automnale.
    
    — Par contre je ne comprends pas pourquoi vous êtes habillées si voyantes.
    
    De notre côté, Muriel et moi étions vraiment très mal à l’aise, quant à Geneviève, elle gardait son sang-froid et son aplomb. Geneviève a essayé de détourner la conversation vers les champignons que cette promeneuse avait ramassée.
    
    — En fait, ...
«1234...7»