Belle-sœur de l'Empereur - 2
Datte: 14/04/2022,
Catégories:
fh,
fhh,
fhhh,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
yeuxbandés,
historique,
couple,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... fait nettement deux. Alors je décide de changer de sujet :
— Passons à autre chose, je vous prie. Parlons plutôt d’une certaine Margrave qui s’ennuyait dans sa lointaine contrée depuis son veuvage.
— Vous faites allusion à qui ? Quand même pas à Ursula von Schwarzerstein ?
— Vous voyez que vous connaissez ! Depuis quelques années, elle fait une grosse consommation de jeunes hommes, mais contrairement à certaines personnes, elle les relâche vivants, mais fort épuisés.
— Elle les relâche vivants !
Je commente à ma façon :
— Je veux dire par là, Lugdiwina, que d’autres personnes auraient fait disparaître à tout jamais les corps du délit, si je puis le dire ainsi. Ce qui est d’ailleurs arrivé en d’autres temps, dans d’autres contrées. Il existe tant de forêts profondes, de crevasses sans fond, d’oubliettes oubliées. Bonne âme, notre chère Ursula ne fait que les vider momentanément. Le plus amusant est que ces jeunes hommes reviennent très souvent de leur plein gré, malgré les évidents risques pour leur santé.
— Vous dites qu’elle en… euh… consomme souvent ?
— Tous les jours, avec parfois un petit repos le jour du Seigneur…
— Tous les jours !
L’Impératrice s’est exclamée tellement fortement que les enfants qui s’amusent non loin de nous la regardent intrigués. Avec un large sourire, je leur fais signe de continuer à jouer, puis quelques instants plus tard, j’explique :
— C’est comme la course, voyez-vous : certaines personnes s’effondrent au bout de cent pas, ...
... et d’autres courent le marathon quotidiennement. C’est juste une question d’entraînement.
— Et vous, Wilhelmine, seriez-vous marathonienne ?
— Vous me flattez, Majesté ! Disons que je suis une petite coureuse de fond.
— Je me demande ce qu’on peut trouver de bien dans cette activité.
— Vous parlez de quoi précisément ? De la course ou de l’activité en chambre ?
Elle rougit un peu :
— Euh… les deux finalement… Pour l’activité en chambre, comme vous dites, longtemps, je me suis franchement posé la question du plaisir, et puis un jour, avec mon époux, j’ai ressenti fugacement quelque chose. Ça m’a intriguée.
— Ah bon ? Racontez-moi !
Elle devient écarlate :
— Je ne sais pas si…
— Mais si ! Ça vous soulagera, vous verrez !
À mots couverts, elle me raconte qu’elle a ressenti quelque chose d’étrange, mais très plaisant, et qu’elle ignorait ce que ça pouvait être. Visiblement, mon interlocutrice ne s’est jamais offert du plaisir avec ses doigts ou autrement. Je la rassure en lui disant que c’est tout à fait normal, surtout dans un couple, et que ça devrait être la norme : la jouissance.
— Ah bon ?
— Oui, pour être franche, c’est ce que je ressens systématiquement avec Karl quand nous nous faisons de gros câlins et plus.
— Mais… mais pourquoi je n’ai ressenti ça qu’une seule fois ?
Je suis embêtée, qu’est-ce que je lui réponds ? Après avoir pesé le pour et le contre de diverses possibilités, je décide de lui donner le choix :
— Lugdiwina, préférez-vous ...