Esprit es-tu là ?
Datte: 26/03/2022,
Catégories:
fh,
ff,
grp,
couplus,
extracon,
copains,
nympho,
fépilée,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
intermast,
Oral
69,
fgode,
pénétratio,
fsodo,
échange,
jeu,
confession,
totalsexe,
Auteur: Mince-alors, Source: Revebebe
... robe, la voilà en moi. Je prends la main du comte, la pose sur mon sein du cœur, le téton enfle dans sa paume :
— Comte, elle est en moi, ses frissons, ses palpitations…
Il sait que mon émotion n’est pas du cinéma. Je continue :
— Madame la Comtesse est triste d’être enfermée derrière ces portes de bois lugubre. Mettez-la en pleine lumière comme elle le mérite. Sa place est à vos côtés. Vous, qui la vénérez…
Son regard va de l’une à l’autre. Je descends sa main sur ma fente, l’index s’y insère machinalement. Max en ferme les yeux, dans un souffle rauque, il promet :
— Demain, je ferai enlever cette fausse boiserie. Me pardonneras-tu le chagrin égoïste dans lequel je t’ai enfermée. Remercions Caroline de nous avoir réunis…
Élisée en moi me jette dans ses bras et me fait dire :
— Mon chéri…
Il ne s’y trompe pas :
— Chère Élisée…
Je respecte un silence. Ressent-elle le doigt qui navigue dans ma fente ?
D’un seul coup, je ne suis plus elle. La voilà partie. Max ressent aussi.
— Caroline ?
— Continuez, Monsieur, sinon je fais un scandale devant les maçons.
Je jouis debout, appuyée, tête nichée sur son épaule.
— Merci, Monsieur le Comte. Cela vous plaît-il que je vous serve du comte ?
— Max sera très bien.
— Patron au boulot, comte en privé.
— Je vais faire supprimer ces portes. Il me faut un menuisier.
— J’en sais un… Gustave, mon menuisier matelassier.
C’est au tour de Max de me prendre la main.
— Merci, Caroline. Il y a des ...
... choses évidentes que l’on ne voit pas.
— Je reviendrai après le passage de Gustave. Max, Monsieur le Comte me fessera-t-il ?
Quelques jours plus tard, point de maçons sur l’échafaudage. Max me fait entrer dans son bureau. Le tableau est en pleine lumière, Gustave a super arrangé la boiserie.
— Je reviens dans un moment. Caroline, prenez vos aises.
Je pose ma robe, m’approche du tableau :
— Bonjour Comtesse ou préférez-vous « Salut Élisée » ?
— Comme il te plaira.
Je n’entends pas ses réponses, elles viennent dans ma tête, mais je ne me laisse pas dominer par la peinture, je me campe devant elle :
— Élisée, pourquoi moi ?
— Tu es moi sur Terre. Fais confiance à Max, c’est un très grand homme. Tu lui as remis la joie de vivre. Ses fessées me manquent, soupire-t-elle. Caroline, tu as un superbe avenir au château. Je veillerai toujours sur toi…
Je suis aspirée dans le tableau avec elle sur le divan. Ce n’est pas de la chair sur ma peau, ça fait comme le vent sous les jupes, la brise chaude, en plus dense en guise de toucher. Combien de temps cela dure-t-il ? Me revoilà devant la peinture, jambes flageolantes, chatte mouillée, quelle expérience !
Max me retrouve tout alanguie dans une pose suggestive à me caresser, me pincer un sein, le regard dans l’infini, je souffle :
— Monsieur le Comte, finissez-moi, je vous prie.
La phalange fit merveille…
Je sais enfin ce qu’Élisée attend de moi. Faire perdurer l’œuvre libertine de son chéri. Et pourquoi ...