Esprit es-tu là ? - Histoires de Sexe

Esprit es-tu là ?

Résumé des épisodes précédents :Le cousin Coco », «Pucelle libertine », «Pucelle libertine - 2 », «Apprentie libertine », «Talent cachés », «Que d’aventures », «La boutique de Diane », «Née dans la pourpre » et «Les vieilles dames »

Caroline, amoureuse d’une fille et d’un garçon, que rien ne destinait au libertinage, assume ce destin imprévu boosté par deux vieilles dames richissimes. Du travail, une propriété avec des bois et des terres, sans comprendre le pourquoi de tant de faveurs, elle s’y lance à corps perdu. Après tout, à vingt ans, que risque-t-elle ?

La secrétaire de Valérie rigole quand je la préviens que je vais énerver sa patronne. J’entre dans son bureau, souriante, pas urbaine :

— Où en sommes-nous de nos affaires ?
— Te crois-tu capable de gérer le domaine que te lègue Yvonne ?
— Pour gérer une affaire, il faut s’entourer de personnes compétentes, savoir déléguer, imposer des comptes rigoureux et ne laisser personne prendre de décision à votre place.
— Parfait. Tu n’as plus qu’à appliquer ce que tu as appris.
— Valérie, êtes-vous qualifiée pour me présenter des dossiers fiscaux bien ficelés ?

Un instant, son regard est furieux, j’imagine de la vapeur sortir de ses narines comme les taureaux de dessins animés, elle redevient souriante, commerciale :

— Mademoiselle, les références que j’ai parlent pour le sérieux de mon cabinet.
— Nous continuerons de travailler ensemble.

La bouillonnante Valérie bouillonne. Je vais me ramasser une paire ...

... de claques pas piquée des hannetons. Pour l’heure, elle me détaille ce qu’il faut faire légalement pour une transition en douceur.

Quand je pars, on entend un « crac » avant que la porte ne se referme. Sa secrétaire me sourit :

— Un crayon de papier vient de rendre l’âme. Une fois, elle en a cassé un en vous traitant de garce.
— Elle a la rage parce qu’elle me mange dans la main.

Non seulement les claques de Valérie me procurent le syndrome de monter l’escalier, elles affermissent mon caractère. Mes claques à elle, ma détermination. Je lui envoie un SMS disant qu’elle a une livraison à 20 h.

21 h, qu’elle répond !

Finirai-je maso ? La fessée, les menottes, les claques, tout porte à le croire.

21 h. Valérie m’ouvre, vêtue de cuir, martinet à la main. Ouille !

— C’est quoi ta livraison ?
— Ça !

Je lui balance une claque qui sonne clair.

— Salope de garce ! me tire-t-elle par la main.

Si je cède trop vite, elle va être frustrée. Moi aussi. Et c’est ma première au martinet. Nous nous traitons de noms d’oiseaux qui veulent dire je t’aime. Elle m’allonge sur la table du salon, je me retrouve menottée à cheval dessus. Elle retrousse ma robe et vlan, du martinet. Monsieur Paul doit se régaler de mes fesses rougeoyantes. Elle vient saliver dans ma fente jusqu’à titiller la rondelle. Et vlan ! Un coup de jus du bout des lanières ! D’un seul coup, elle me masturbe, me lime de ses doigts. Je ne voyais pas qu’elle se masturbait aussi. Monsieur Paul va en ...