1. Esprit es-tu là ?


    Datte: 26/03/2022, Catégories: fh, ff, grp, couplus, extracon, copains, nympho, fépilée, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation intermast, Oral 69, fgode, pénétratio, fsodo, échange, jeu, confession, totalsexe, Auteur: Mince-alors, Source: Revebebe

    ... classé, nous n’avons eu que la permission d’aménager les sous-sols. Ce qui a été finalement plus facile pour créer une ambiance propice aux frissons libertins. Y a-t-il d’autres vrais fantômes ? J’en frissonne dans ces vieilles pierres d’où peut-être Élisée surgira. Apparemment, elle se plaît en haut, je la comprends. Nous voilà dans les sous-sols. L’éclairage ne blesse pas la vue. Ses différents coloris atténuent l’imperfection des corps tout en créant une ambiance intime.
    
    — Caroline, dans cette réserve immense, ce sera la salle commune bar dancing flirt, etc. Les autres pièces seront des boudoirs non fermés. Des claustras ou des grilles limiteront le nombre de participants selon l’envie des personnes.
    — Une exhibe permanente, quoi.
    — Le libertin aime l’exhibe. Et… Caroline, une surprise. Mon père a réuni cette collection pour épater ses invités. La chambre des tortures.
    
    L’accès en est interdit par une double grille. On peut voir toutes sortes d’appareils barbares avec des dessins expliquant l’utilisation.
    
    — Le génie du mal n’a pas de limites.
    
    Il me regarde avec un petit sourire en coin :
    
    — Nous allons garder un appareil pour vous donner la fessée, ma chère Élisée. Hop… Pardonnez mon lapsus, Caroline.
    
    Un carcan ! Vous savez, on y passe la tête et les mains. Et celui-là est sur pied.
    
    — Essayez-le.
    
    Clic ! Me voilà prisonnière penchée en avant, fesses bien exposées aux claques.
    
    — Mon Dieu, vous êtes parfaite !, me trousse-t-il la robe.
    
    Et pan ...
    ... !
    
    Et la phalange frôle ma fente, ça me secoue à l’intérieur que ça en mouille le doigt.
    
    — Caroline, vous êtes sensible !
    
    Et pan ! Nous sommes tous les deux dans un emballement érotico-sexuel.
    
    Et pan ! Je reçois ma première fessée dans les caves glauques du château.
    
    Je descends le perron cheveux et robe au vent. Un coup de sifflet admiratif. Je ne me retourne pas, fais un petit signe de la main. J’entends :
    
    — Tu te la mettrais bien sur le nœud…
    — T’es con, dis pas ça, c’est une jolie gonzesse…
    — Qui se tape des vieux friqués !
    — Dis pas de conneries !
    — Sûr qu’elle a pas de culotte !
    — P’tain ! T’es con de chez con !
    
    Un grand bruit de ferraille…
    
    — Y a en a marre de vous deux ! Une paire de fesses et vous faites des conneries ! vocifère le chef.
    
    Faut se méfier de l’écho des vieux murs. En démarrant, je m’offre le coup de klaxon plaisir, un « Tut tut » enjoué… S’ils savaient l’orgasme géant que le comte vient de m’offrir… Je dois revenir pour un tête-à-tête avec Élisée.
    
    Vite une douche rapide, je reste nue. J’ai faim sans avoir faim. J’étale du fromage blanc que je couvre d’un centimètre de sucre. Ça cric crac croc sous la dent, trop bon. Le divan m’accueille chaleureusement. Heureusement qu’Alban ne rentre pas les soirs. Je dois mettre de l’ordre dans ma tête, la comtesse, le futur club, la fessée au carcan. Le sommeil m’emmène dans un rêve de duel sur le pré en mousquetaire du roi, je ferraille contre les éminences grises du cardinal. Une épée ...
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