1. Il était un petit navire (2)


    Datte: 20/03/2022, Catégories: Gay Auteur: Igor KACHOV, Source: Xstory

    ... sens mon sperme remonter tout seul mon urètre et couler par gros jets sur mon ventre. Je jouis comme je n’ai jamais joui, tout en sentant en moi, Igor continuer sa besogne.
    
    — Tu es bonne Etienne, une vraie bouffeuse de bites comme j’en ai rarement prise. Je vais t’inonder la cave !!
    
    A ces mots, Igor jouit bruyamment, me regardant bien fixement pour me montrer que c’est lui qui m’emplissait ma chatte de bonne femelle et que quoi que je fasse désormais, je serai toujours son dominé et lui mon dominant.
    
    Igor se retire doucement de mes entrailles et me présente sa queue dégoulinante de sperme.
    
    — Allez Etienne, nettoie bien ma queue. Ne m’en perds pas une goutte.
    
    Je lèche et pompe son chibre jusqu’à ce qu’il soit net et propre. Il m’écarte les jambes et met sa langue dans mon anus pour récupérer son sperme qui s’en échappe. Il ne l’avale pas et me l’apporte doucement au bord de mes lèvres pour que je déguste en l’avalant.
    
    Igor continue à me regarder fixement, les bras tendus et les poings serrés de chaque côté de moi.
    
    — J’ai aimé ce qui vient de se passer. Il y a quelques années, je t’aurais fracassé la tête après avoir ...
    ... vu tes exploits avec l’autre con de Romain. Mais là, tu m’as bien surpris et tu as bien encaissé mes coups de queue.
    
    Il continue.
    
    — J’aime que mes putes dans les ports soient bien soumises comme tu l’es désormais.
    
    Sur ces mots, Igor se rhabille. Et à la fin, s’adresse de nouveau à moi.
    
    — Tu restes membre de l’équipage et deviens responsable de la cambuse et de la propreté de mon navire. Tu es à ma disposition sur ce navire quand j’en ai l’envie. A part ces moments-là, on ne se croise pas le reste du temps.
    
    Igor sort de la salle.
    
    Je reste allongé sur le dos, reprenant mes esprits. Mon rectum est en feu et complètement dilaté. J’ai aimé ce moment bestial avec Igor. La façon dont il m’a possédé me plaît.
    
    Les jambes encore tremblantes, je me rhabille à mon tour pour rentrer chez moi.
    
    Il faut que je raconte cette histoire à mon ami Henry, marin lui aussi, qui partage ma collocation aux Sables-d’Olonne. Il ne me jugera pas. La garder pour moi tout seul, c’est trop lourd. Sinon à qui en parler ? Et pourquoi pas l’écrire, non ?
    
    — Tiens si un jour, je me décide, je commencerais ce récit par : "Il était un petit navire..." 
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