Il était un petit navire (2)
Datte: 20/03/2022,
Catégories:
Gay
Auteur: Igor KACHOV, Source: Xstory
... alors dans la bouche, mon slip mouillé qui traîne à côté et reprend son activité. Je deviens muet, mais les sensations qu’il me procure sont indescriptibles. Il m’écarte maintenant les fesses pour enfoncer la langue dans mon anus et y faire des va-et-vient. Il alterne pénétrations linguales, aspirations et lèches. Il enfonce aussi son majeur de plus en plus loin, le faisant tourner dans mon sphincter.
— Tu aimes ça, hein, bonne femelle, m’adresse Igor d’un ton sec. Allez, donne-moi ta chatte. Tu vas aimer le reste aussi. Tu vas apprendre ce qu’est un vrai mec !! Tu vas bien te donner à fond pour ton Capitaine.
Mes protestations restent étouffées par le bout de tissu dans ma bouche. Le plaisir que me procure Igor est trop intense pour que je le refuse. Mon sexe ne ment pas, il est dressé par le désir et par l’excitation. Sa langue tourne, ses mains puissantes me tendent les fesses, ses doigts s’agitent dans mon intérieur... Je vais jouir !!!
Je ne sais pas si Igor le sent, mais il arrête d’un seul coup son entreprise et se redresse. Face à moi qui suis sur cette table d’inox, les jambes écartées, il est grand et puissant.
Il me retire le tissu dans ma bouche et me force à me mettre à genoux devant lui.
— Tu vas commencer par m’enlever doucement mon pantalon puis tout en me regardant, tu mets ma bite dans ta bouche.
Je déboutonne son pantalon progressivement, bouton par bouton, je sens bien son excitation grandir derrière le tissu. Je le regarde comme il me ...
... l’a ordonné. Je baisse alors son pantalon pour me retrouver avec son sexe dardé devant le visage.
— Tu vas commencer par une petite Vodka de mon pays !! dit-il en rigolant à gorge déployée.
Il me saisit l’arrière de la tête, enfonce sa bite dans ma bouche et se soulage d’un liquide jaune et odorant. Mes mains sur ses cuisses essaient de m’extraire de son emprise, mais sa pression est trop forte et je suis trop faible. Même si je recrache une bonne partie de son urine, j’en avale cependant une certaine quantité tout en essayant de respirer.
Je baigne désormais dans sa pisse tout autour de moi.
Il termine de se soulager et commence des va-et-vient dans ma bouche. Son sexe se raidit de nouveau et bientôt ses mouvements de bassin s’intensifient. Il enchaîne les gorges profondes tout en veillant à ne pas me faire vomir ou m’étouffer. Je suis rouge comme une écrevisse et le souffle coupé, mais lui ne montre aucun signe de plaisir. Il assiste du haut de son mètre quatre-vingt-dix à mon asphyxie.
Son sexe est impressionnant. Il est long et épais à la base du pubis. Un gland plus fin finalise l’édifice. Ses couilles bien pendantes sont lisses et semblent gorgées de sève slave. L’homme s’entretient. Un monument de virilité.
Igor se décide alors à me redresser, il me fait mettre de nouveau le dos collé sur la table d’inox et m’écarte doucement les jambes. Cette fois, ce n’est pas sa langue qui est à l’entrée de mon anus, mais sa verge imposante. Je me mets sur les coudes ...