Il était un petit navire (2) - Histoires de Sexe

Il était un petit navire (2)

... pression qu’il met dans son mouvement est étrangement contrôlée, mais s’affirme plus intensément.

— Aie. Igor arrête. Je t’en supplie. Laisse-moi simplement sortir et on n’en parle plus ?

Mais à ce stade de l’histoire, est-ce que j’ai vraiment envie de sortir ? Rien n’est moins sûr. La présence d’Igor dans ce bateau vide et silencieux est aussi rassurante.

Je reste ainsi sans bouger à la merci d’Igor, qui peut d’une seule pression m’infliger les pires douleurs qu’un homme puisse connaître.

Il retire son pied de mes parties puis me tire par les cheveux, toujours sans dire un mot, dans la salle aux poissons.

— Tu pues la sueur !! Tu vas te décrasser ici avec le jet d’eau, m’ordonne Igor, tu te désapes et tu t’exécutes.

La salle a été nettoyée par l’équipage. Elle comporte tout le matériel pour laver et vider les poissons avant de les envoyer en congélation. Trois grands établis en inox parfaitement lisses et froids sont les seuls mobiliers de la pièce.

Je commence par enlever mes vêtements souillés devant Igor qui n’en perd pas une miette. Puis, je prends le jet et Igor ouvre l’arrivée d’eau. L’eau est si froide, que je ne peux la faire couler sur mon corps.

— Prends le tuyau et asperge-toi immédiatement ou c’est moi qui m’en charge, me dit froidement Igor.

— Oui Capitaine.

En serrant les dents, je dirige le tuyau vers mon corps dénudé et commence à me laver entièrement.

— Tu insistes bien sur ta queue et ton cul, grogne Igor.

Il est vrai ...

... qu’après quelques minutes, le corps s’habitue à la température froide de l’eau.

Je suis désormais bien propre et Igor me saisit par le bras pour m’allonger sur une table d’inox. Il me place sur le dos, me monte les jambes en l’air. Je lui offre ainsi mon cul.

— Je vais te bouffer la chatte comme je l’aurais fait pour une femme. Tu vas aimer ces petits préliminaires. Il ne t’a pas fait ça ton marin d’eau douce !!

— Non Igor, s’il te plaît, pas ça, pas comme ça, pas ici.

Je l’implore, mais mes réticences vont en décroissant au fur et à mesure que sa langue lèche mon anus. Tout d’abord, il commence par laper le trou. Des petits mouvements courts et saccadés qui humidifient mon orifice. Il sort sa langue et la fait tourner en rond, elle est prête pour investir mes entrailles. Il mouille parfaitement la zone en crachant régulièrement puis en étalant sa salive avec sa langue.

La sensation est douce. Comment un homme si violent peut être à ce moment-là, si attentionné ? Sa langue remonte désormais mon sillon inter fessier. Son majeur titille l’entrée de mon rectum pendant que sa langue commence à s’introduire.

Son doigt force progressivement l’entrée de mon anus et il continue avec ses lèvres de sucer les contours.

Je me tortille de plaisir. Il me procure une sensation de douceur et d’extase. Je commence à pousser quelques cris qui montrent mon bonheur.

— Tu fermes ta bouche, me dit Igor, je ne veux pas t’entendre geindre. Tu ne le mérites pas.

Il m’enfonce ...