1. Il était un petit navire (2)


    Datte: 20/03/2022, Catégories: Gay Auteur: Igor KACHOV, Source: Xstory

    ... pour regarder le spectacle où j’ai obtenu le premier rôle.
    
    — Igor, je t’en prie, c’est trop gros pour moi. Tu ne vas pas pouvoir entrer sans me déchirer. On arrête là s’il te plaît.
    
    — Tu penses que je vais m’arrêter là, dit Igor d’un ton froid et directif. Tu vas tout prendre en toi, tu vas crier de douleur puis tu vas aimer et à la fin tu me supplieras de recommencer.
    
    Il positionne son gland dégoulinant de mouille à l’entrée de mon sphincter, bien calé. Il est prêt à me prendre comme une chienne. Il me regarde fixement, toute sa virilité me domine et moi, pauvre être, je suis son jouet de plaisir.
    
    — Si tu me dis de me retirer maintenant, je me retire et pas de problèmes, chacun rentre chez soi. Mais tu es tellement chaude et mouillée que tu ne vas rien dire, bien sûr, me susurre Igor penché sur moi.
    
    — Igor, j’ai peur, c’est trop gros pour moi, dis-je d’un ton peu assuré, mais sans jamais lui dire de ne pas y aller. On pourrait faire autrement, on pourrait...
    
    Il me serre les hanches, et appuie son mouvement de bassin pour faire glisser son pénis au fond de mes entrailles. Il ne m’empale pas d’un coup comme un hussard, mais s’introduit progressivement, régulièrement, faisant glisser son chibre au plus profond de moi. Mon sphincter se soumet et s’écarte face à la puissance tranquille de l’assaut.
    
    Ses mains me bloquent sur la table froide, rendant toute fuite impossible.
    
    Je pleure de douleur et mes cris remplissent la salle. Sa main posée sur ma bouche ...
    ... étouffe mes cris. Il vient de se bloquer au fond de mon rectum. Il ne bouge plus et me regarde, impassible, me tortiller de douleur, des larmes coulant sur mes joues.
    
    Chaque contraction de mon sphincter essayant de rejeter ce corps étranger, renforce son excitation et son plaisir.
    
    Il commence alors ses mouvements de bassin et veille par des petits coups répétés à ne pas sortir de mon orifice.
    
    — Tu as une bonne chatte Etienne, on va bien s’éclater tous les deux. Ouvre-toi bien à ma queue pour qu’elle te souille abondamment !!
    
    — Oui Igor, répondis-je dans un souffle d’abandon.
    
    Igor a raison, l’extrême douleur du début commence à faire place à un plaisir naissant. Ses saccades qu’il maîtrise me remplissent désormais d’une chaleur qui me monte à la tête. Je vois les muscles de son cou se tendre et il montre désormais un certain plaisir à me posséder.
    
    Ses coups s’accélèrent, mais il ne vient toujours pas. Il est endurant et retarde un maximum son excitation. Je suis au bord de l’explosion. Mon liquide séminal coule de ma verge. Igor le ramasse de ses doigts pour me le faire goûter.
    
    Je suis sur le point de venir, il le sent. Je me redresse sur mes coudes pour regarder sa verge pénétrer désormais, sans aucune barrière, mes entrailles. Il sourit avec toutes ses belles dents blanches.
    
    — Tu aimes ça les Russes, tu vois, on est endurant.
    
    — J’en peux plus Igor, achève-moi, je vais jouir, tu me fais...
    
    Là encore, ma phrase reste suspendue. Le souffle court, je ...