1. Potins et popotins


    Datte: 07/03/2022, Catégories: fh, hplusag, médical, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, BDSM / Fétichisme pénétratio, fdanus, fsodo, jeu, sm, fouetfesse, fsoumisah, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... lève pour de bon, le commissaire me demande :
    
    — Au fait, on l’enterre quand ?
    — Je pense que ce sera faisable la semaine prochaine, lundi ou mardi. Il va falloir que je me penche sur la question, car madame Skodanov n’est trop en état de s’occuper de ce genre de chose. De votre côté, vous en avez fini avec le corps ?
    — Oui, oui, vous pouvez le récupérer.
    — OK, je m’en occuperai.
    
    Puis après une dernière salutation, nous nous sommes séparés, puis je suis rentré chez moi avec l’intention de commencer en début d’après-midi mes consultations libres qui sont parties pour durer jusqu’au soir, avec des petites coupures pour m’enquérir de la santé de Clémentine.
    
    Quand je rentre à la maison, ma femme me tombe dessus avant que je n’aille voir ma patiente. Je lui raconte ce qui s’est passé avec le commissaire. Nous discutons un peu, puis soudain, Virginie change de sujet :
    
    — Au fait, Casanova, tu conclus quand ?
    — Euh… je peux savoir de quoi tu parles, Virginie ?
    — De ta patiente, très cher.
    — Je ne comprends toujours pas.
    
    Penchant un peu la tête sur le côté, l’air faussement détaché, ma femme regarde ses ongles :
    
    — Je te signale que je cause parfois avec elle, et ce, depuis dimanche matin. Entre femmes, on peut papoter plus librement qu’avec un homme dans nos pattes.
    — Je te crois sur parole. Et tu as su quoi de plus que je ne t’avais dit ?
    — Clémentine a ajouté des détails. On ne peut pas dire que sa vie ait été un long fleuve tranquille !
    — Ça, je m’en ...
    ... doutais. Et ça a quoi à voir avec ton histoire de Casanova ?
    
    Avec un large sourire, elle m’assène :
    
    — Tout simplement que la petite en pince pour toi, mon cher !
    — Tu affabules, ma chère épouse ! Peut-être est-elle reconnaissante des soins prodigués, mais ça s’arrête là.
    — Eh non, ça va plus loin.
    — Je ne vois pas pourquoi !
    
    Elle continue de me sourire :
    
    — Ne joue pas les modestes, mon cher mari. Tu es resté bel homme, tu es gentil, tu n’es pas idiot, et de plus, tu as fait du BDSM.
    — Dois-je comprendre que ça fait partie de mon charme, celui qui fait que nous cohabitons ?
    — Il y a de ça, Alexis, il y a de ça. Je reconnais que j’aime m’envoyer en l’air avec mes jeunes carottes, mais j’aime ta présence à mes côtés. Nous passons souvent des soirées ensemble, aussi bien pour la causette que pour la galipette.
    
    Pas faux, j’apprécie sa présence, comme elle apprécie la mienne. C’est pour cela que nous sommes toujours ensemble, elle et moi. Je lui fais remarquer :
    
    — Dans ce cas, tu devrais écarter mes éventuelles maîtresses…
    — Moi et le BDSM, ça fait deux, tu le sais très bien. De plus, ça me semble un bon arrangement : mes carottes contre ta soumise.
    — Clémentine n’est pas MA soumise, c’est MA patiente.
    — Oh, elle ne demande qu’à l’être… Demande-lui si tu ne me crois pas !
    
    Je suis un peu embêté, cherchant une formule pour couper court. Hélas pour moi, ma femme me balance avec perfidie :
    
    — Sans oublier que tu sembles beaucoup adorer son gros cul, n’est-ce ...
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