1. Potins et popotins


    Datte: 07/03/2022, Catégories: fh, hplusag, médical, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, BDSM / Fétichisme pénétratio, fdanus, fsodo, jeu, sm, fouetfesse, fsoumisah, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... vérifier si sa colonne vertébrale est toujours intacte, je détache délicatement la victime, puis, aidé par deux hommes valides, Georges et Paul, des habitués, nous la transportons délicatement dans son lit. Je constate au passage que la victime a le vagin condamné par une série d’anneaux, de chaînettes et de cadenas. Je prodigue les premiers soins, tout en écoutant les divers témoignages et apprends que le mari avait courageusement pris la fuite. Ensuite, je congédie tout le monde, tout en jurant de ne parler de rien aux autorités.
    
    Comme je me doutais un peu du problème, j’enduis les fesses meurtries d’un baume très efficace, à la fois réparateur et anesthésiant, que j’avais pris soin de prendre avec moi. Je ne suis plus un grand adepte du BDSM, mais je connais bien les tenants et les aboutissants de ce genre de séance, et les pratiquants du coin savent compter sur ma discrétion. Il y a de nombreuses années, moi aussi, je pratiquais, mais modérément, puisque j’ai toujours considéré le BDSM comme une cerise sur le gâteau lors de mes turpitudes sexuelles. Mais certainement pas comme un art de vivre, comme le clament certains.
    
    Madame Skodanov émerge une bonne heure plus tard, très faible. Je la rassure.
    
    Je reste avec elle jusqu’à huit heures du matin. Et là, il faut que je prenne une décision. Du bout des doigts, je vérifie soigneusement s’il n’y a pas de casse au niveau des lombes. Non, il ne semble pas y en avoir. Néanmoins, il faudra que je vérifie par une radio s’il ...
    ... n’y a pas de fêlure. Alors je décide de rentrer chez moi, avec ma patiente :
    
    — Bon, je ne peux pas vous laisser là. Je vais vous transporter chez moi, j’ai tout ce qu’il faut.
    — Non, non, Docteur, laissez-moi ici !
    — Pas question ! Vous n’êtes pas en état de rester seule. Est-ce que vous réalisez que vous avez frôlé la chaise roulante ?
    
    Elle se tait aussitôt, sans doute, plus par soumission que par conviction. Je vais chercher un brancard à roulette, je la fais s’allonger dessus, sur le ventre. Ma voiture est vaste et est prévue pour se transformer facilement en ambulance improvisée, ce qui est pratique.
    
    À tout hasard, je laisse un mot sur la table, auquel cas le balourd de mari serait de retour et qu’il chercherait après sa femme.
    
    Dix minutes plus tard, après avoir ôté ses quelques vêtements, j’installe ma patiente dans une chambre chez moi, complètement nue à présent, toujours couchée sur le ventre, fesses bien en évidence, en train de dormir. C’est alors que je tombe sur ma femme en nuisette qui vient de se réveiller :
    
    — Euh, Alexis… tu fais quoi, là ?
    — Madame Skodanov a eu un petit problème…
    — Et c’est pour ça qu’elle est quasiment nue, les fesses à l’air ?
    
    Je résume les événements :
    
    — Une séance BDSM qui a mal tourné…
    — Et pourquoi ne pas avoir appelé les urgences ? Ah oui, y avait du beau monde, c’est ça ?
    — Oui, c’est ça. Et d’après ce que j’ai pu savoir, la moitié des notables de la ville était là.
    — Non ! Tu rigoles ?
    
    Je tergiverse un ...
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