1. Le grimoire


    Datte: 04/03/2022, Catégories: fh, fhh, extracon, profélève, grossexe, bizarre, campagne, Collègues / Travail Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, conte, fantastiqu, fantastiq, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... Oui. Je ne dis pas pour lui faire sa toilette et tout ça, mais… au moins pour la faire manger et la promener. Et puis tu restes dans la maison, s’il y a un problème, tu n’es pas loin.
    — Après tout, tu as peut-être raison. Moi je ne sais plus, je suis tellement fatiguée. J’ai perdu tout bon sens en ce qui concerne maman. Mais pourquoi ne pas essayer ? Je vais téléphoner.
    — Oui Jeanine, ta vie vaut celle des autres. Tu ne t’en rends peut-être pas compte, parce que tu as toujours été mince, mais tu es en train d’y laisser la peau. Et ça, tu n’as vraiment pas droit. Si tu ne le fais pas pour toi, fais-le pour moi, si tu m’accordes un peu d’amitié.
    
    Une demi-journée par muret de rampe, ça fait quatre. Une demi-journée pour remonter les marches et mettre les pavés, ça fait cinq, et il en était à la troisième de la semaine qui en compte dix. C’est bon.
    
    — Jeannot, viens, prends les cales et les barres à mine.
    
    Dans l’après-midi, ils descellèrent les marches de l’arrière, rapportèrent les latérales de devant et coulèrent une nouvelle rampe, simple et toute droite celle-là, entre deux planches. Le pauvre Jeannot n’avait pas été à pareil traitement depuis longtemps. Entre le transport des pierres, la préparation du mortier, les autres tâches diverses, Rodolphe le houspillait sans cesse. Pourtant, c’était un chantier comme un autre, qui avançait plutôt très bien. Mais son patron n’était pas dans son assiette et il ne comprenait pas pourquoi.
    
    — Ce serait une bonne femme, ...
    ... j’dirais qu’elle a ses « époques », bougonnait-il.
    
    Mais dans la tête de son patron, les choses se bousculaient. Le merveilleux succube, à l’image de ses désirs onanistes, lui faisait de moins en moins envie depuis qu’il avait goûté aux plaisirs de la chair des femmes communes. Il avait pris des pieds majuscules avec l’Anglaise et la boulangère. Et maintenant, il rêvait de se taper l’institutrice et aussi Jeanine malgré sa maigreur, dans quel ordre il n’en savait rien. Encore une fois, ce sont les événements qui allaient décider pour lui. Il avait interdit à Mélissa de répondre au téléphone vu qu’il avait un répondeur. Ce soir-là en rentrant, il y avait un message de la maîtresse d’école qui lui demandait de passer la voir. Il se doucha et y alla. Choc ! Elle l’attendait dans une petite robe de jersey noir, celle qu’elle portait souvent quand il était élève.
    
    — Tu vois Rodo, j’ai fouillé dans mes vieilleries et j’ai retrouvé tout ça pour toi. La robe et mes vieilles lunettes. Assieds-toi, intima-t-elle en désignant le canapé.
    
    Le jeune homme s’assit, fasciné par l’image retrouvée de son instite. Certes, elle était un peu plus ronde qu’à l’époque, mais ça la rendait d’autant plus sexy. La robe étirée faisait de petits plis horizontaux, sous la poitrine un peu plus généreuse et surtout sur les cuisses, car fesses et hanches avaient pris du volume. Du coup, elle avait tendance à remonter un peu, dégageant plus de jolies cuisses charnues, et moulait parfaitement un cul pommé ...
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