1. Le grimoire


    Datte: 04/03/2022, Catégories: fh, fhh, extracon, profélève, grossexe, bizarre, campagne, Collègues / Travail Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, conte, fantastiqu, fantastiq, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... ayant apporté sa gamelle.
    
    Mais Rodolphe était attendu par Mélissa. La maison en était transformée. Claire depuis que les vitres étaient faites et les murs lessivés, propre et sentant bon, sans vieille vaisselle traînant dans l’évier jusqu’à épuisement du stock, draps et rideaux lavés, table nappée, couvert dressé, c’était rudement bien d’avoir un succube. En plus, Mélissa se promenait toujours dans la plus intégrale nudité, le faisant bander au premier regard. Quand il arrivait, elle lui demandait ce qu’il avait envie de manger, mettait la cocotte ou la casserole sur le feu, et le met désiré était servi dans la minute. Vraiment pratique. De plus, quand le jeune homme ingurgitait cette nourriture, il sentait une incroyable énergie courir dans ses veines. Profitant de cette puissance, il ne manquait pas de récompenser son étrange amante en la pilonnant puissamment sur un coin de table. Il était fréquent également que, pendant qu’il déjeunait, elle se glisse sous la table et lui pompe délicieusement le dard tandis qu’il se goinfrait. C’était la vie rêvée.
    
    Cependant, plein de choses avaient changé, qui se voyaient moins. Depuis cette nouvelle expérience sexuelle avec Mélissa, Rodolphe regardait la vie et surtout les femmes autrement. Martine, la boulangère, par exemple : c’est sûr, elle avait de gros nichons. Mais comment était sa chatte ? Est-ce qu’elle aimait se faire « arranger » ? (expression locale pour dire ce que vous pensez). Son boulanger de mari avait un ...
    ... ventre énorme et comme elle était bien en chair, sans être grosse, ça devait pas être facile… Et la Jeanine, avec qui il était allé en classe, sèche comme un coup de trique, est-ce qu’elle avait des petits seins pointus, ou bien des œufs sur le plat ou encore des gants de toilette ? Bref, son regard sur le monde et notamment sur la gent féminine avait changé. Et quand un jour l’Anglaise les invita à prendre le thé, déclarant ;
    
    — Mon mawi est pawti à Pawis pour des papiers,
    
    Il la regarda avec une prunelle concupiscente. Jeannot avait répondu :
    
    — Non, non. J’préfère un coup de rouge.
    
    Et Rodolphe avait suivi seul la flamboyante rousse jusque dans son salon. Vêtue d’un blazer écarlate et d’une jupe écossaise, passant sur ses grandes dents et ses grands pieds, il trouva du charme à la quadragénaire, avec son petit nez retroussé,un nez à fourrer dans les affaires des autres, pensa-t-il, et ses taches de rousseur. Presque face à face sur les fauteuils autour d’un guéridon, elle lui servit le fade breuvage souriant de sa grande bouche et de toutes ses dents, fort blanches du reste. Conversant difficilement, au fil du temps le tartan glissait sur les cuisses croisées de l’Anglaise. Jusqu’à montrer la limite des bas autofixants qu’elle portait. Le sang de Rodolphe ne fit qu’un tour pour venir s’accumuler dans son membre viril. Il se pencha un peu et posa sa grosse paluche sur la cuisse britannique.
    
    — Oh Mister Wodolfe, s’écria la rousse sans plus se défendre…
    
    Alors il ...
«12...91011...38»