1. Le grimoire


    Datte: 04/03/2022, Catégories: fh, fhh, extracon, profélève, grossexe, bizarre, campagne, Collègues / Travail Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, conte, fantastiqu, fantastiq, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... s’enhardit et, bien que ses paumes calleuses accrochassent le nylon, remonta jusqu’au petit bourrelet de chair blanche surmontant le bas. Loin de se défendre, la British décroisa les jambes, ouvrant accès à une touffe aussi rousse que sa tignasse.
    
    Même pas de culotte, la salope, pensa-t-il en bandant comme un âne.
    
    L’instant d’après, il était debout près d’elle, braguette ouverte, présentant à la grande bouche pleine de dents son énorme membre turgescent. La dame fixait l’engin avec des yeux grands comme les soucoupes de son service à thé, en répétant hallucinée ;
    
    — Oh Mister Wodolfe…
    
    Ce furent ses derniers mots intelligibles. La grande bouche accepta l’intromission du majestueux phallus, tandis que les fines mains piquetées d’éphélides s’emparaient de sa base et des lourds testicules. Hors d’haleine, la belle Anglaise fut rapidement dépecée de ses frusques, sauf les bas et, une fois son humidité testée par des doigts aussi puissants qu’inquisiteurs, embrochée par le monstrueux Priape, affalée sur l’angle de la table. Autant le buste de l’Anglaise était fin et délié, autant son cul était large et ses cuissots charnus. Excité par cette étrange et très érotique configuration, Rodolphe jouait les marteaux-piqueurs, repoussant de son gland les limites du vagin et bousculant le bourrelet ferme du col de l’utérus. Il claquait rageusement le vaste fessier à le faire devenir écarlate, broyait les fins tétons d’un rose presque orangé, soulevait la femme à chaque coup de ...
    ... boutoir et faisait trembler la lourde table d’acajou. L’Anglaise beuglait :
    
    —Aow So good… so goooooood.
    
    Elle partit rejoindre le septième ciel en multiples soubresauts, délivrant un flot de cyprine qui lui coulait le long des cuisses. Elle aurait voulu une pause, mais ça ne s’arrêtait pas. Une pipe suivie d’une chevauchée sur Mélissa le midi même avaient rendu Rodolphe endurant. Pire, avec cet excès de lubrifiant il ne sentait plus guère les muqueuses de sa partenaire. Alors il se recula, écarta le gros œillet de la dame, le gratifia d’un jet de salive et présenta son gros gland violacé sur la rosette ainsi vaguement préparée.
    
    —Oh no Oh no, protestait la rousse…
    — Oh si, aussi répondit le mâle hors de lui.
    
    D’un formidable coup de reins, le terrible pieu s’enfonça d’un coup dans l’étroit conduit, tirant de sa propriétaire un cri effroyable. Elle pensa ne pas pouvoir survivre à ce traitement, être déchirée et handicapée à vie. À quatre reprises, le membre sortit de son antre, retourna s’humidifier dans le vagin dévasté et revint poursuivre son massacre. Le festival des claques reprit alors que le piston était en pleine action. Peu à peu, la douleur fit place à d’autres sensations, et l’Anglaise admirait la fantastique capacité d’adaptation de son corps. Elle parvenait à jouer maintenant à se contracter spasmodiquement sur le pieu qui l’empalait. Bientôt, on crut entendre le hurlement d’une louve à la lune. Des jets dignes d’un nettoyeur haute pression fusèrent dans ...
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