1. Retournement de situation


    Datte: 17/02/2022, Catégories: fff, fagée, jeunes, Inceste / Tabou profélève, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, odeurs, lettre, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... passe la pulpe de l’index sur la piqûre, puis, ô surprise, elle renifle son doigt. Sa morale bascule, assurément. Voilà notre ablette prête à sauter volontairement dans l’épuisette !
    
    — Quelle application… Félicitations, ma chérie, souris-tu.
    — J’ai été à bonne école, convient-elle en souriant aussi. J’ai un doute, la couture est bien mouillée, mais je ne discerne pas bien de quoi à l’odeur. Chantal, vous vous y connaissez sans doute mieux que moi, achève-t-elle en me passant l’objet.
    
    Si je suis qualifiée d’experte, je dois soutenir ma réputation. Je hume à même le coton, en prenant tout le temps nécessaire de la remontée des données à mes cellules olfactives. Pour un examen exhaustif, je complète mon analyse en passant la langue, puis en tétant directement les replis du tissu (en imaginant sans peine les réactions que peuvent susciter ces explorations sur mon public du moment…). En pleine connaissance de cause, je peux ensuite rendre mon verdict.
    
    — Je suis en mesure de vous éclairer, chère amie. Il y a un léger relent de quelques gouttes d’urine mal retenues, mal essuyées peut-être, ainsi qu’une forte proportion de cyprine d’aromatisations anciennes et récentes. Et, pour ne négliger aucun détail, il convient de noter également un reste de vieille sueur. Mais ce sont manifestement les sécrétions d’origine sexuelle qui ont le plus contribué à l’abondante imprégnation de la couture. Ce qui n’est pas étonnant d’ailleurs, vu l’étroitesse de ce short qui doit ...
    ... littéralement scier la fente.
    
    Après cette pompeuse déclaration, je rends cérémonieusement l’objet du délit à Marie-Blanche.
    
    — Voulez-vous y revenir, très chère ?
    — Toutes ces précisions vous honorent, chère Chantal. Je ne saurais vous contredire. Mon vieux professeur de chimie avait bien raison, constate-t-elle, les papilles sont souvent les meilleurs instruments du chercheur.
    
    Elle froisse néanmoins l’entrejambe du short entre ses doigts avant de toucher ses lèvres de l’index comment pour réfléchir à ses paroles en regardant alternativement Viviane et Clémence. Celle-ci a supporté nos commentaires détaillés sans ciller, voire avec un semblant de sourire, au contraire de son amie qui garde encore une vague expression de dégoût sur son visage. Cette répugnance, feinte ou non, attire sur elle la première remarque de Marie-Blanche.
    
    — Ne joue pas les écœurées, ce short passerait pour propre à côté de ta culotte. De toute façon, ce que nous venons de constater appelle à mon avis une inspection plus poussée, si Aline est d’accord, te sollicite-t-elle.
    — Absolument, confirmes-tu. Je suis curieuse de voir l’état intime de ces gourgandines. Allons, mesdemoiselles, montrez-nous vos chattes.
    
    Pour Viviane, c’est le coup de grâce. Elle cherche le soutien de Clémence qui l’invite sans mot dire à la résignation. Elle éclate alors en sanglots ponctués de supplications et autres implorations qui ont le don d’exaspérer pour de bon sa « chère tante ».
    
    — Ça suffit, Viviane, tu me fais ...
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