Retournement de situation
Datte: 17/02/2022,
Catégories:
fff,
fagée,
jeunes,
Inceste / Tabou
profélève,
fdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
lettre,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
Résumé des premiers épisodes (1 à 6) :
— «Questions, espoirs et désillusions »
— «Une mise en situation réconfortante »
— «Des avantages d’être servie »
— «Échanges de politesses »
— «Évaluations à chaud »
— «Jeu de rôle, disiez-vous ? »
Chantal fantasme avec son inspiratrice, Aline, sur sa participation à une formation hôtelière aux méthodes très particulières. D’abord déconcertée et humiliée, puis stimulée par des exercices érotiques réjouissant les participantes, une pause l’amène à des confidences de plus en plus lestes avec son amie et leur hôtesse, madame Marie-Blanche C**. Après la traditionnelle séance d’évaluation où deux étudiantes nouvellement arrivées sont invitées à se joindre au stage et un repas convivial, madame C** se retrouve piégée dans l’élaboration de la punition d’une stagiaire, Déborah. L’application des sanctions réunit autour de la coupable, Aline, Chantal, Clémence et son amie Viviane, petite cousine de Mme C**, celle-ci, ainsi que sa jeune soubrette, Sandrine, qui devient à son corps défendant un sujet d’intérêt.
Résumé des épisodes précédents (7 et 8) :
— «Pénitence et conséquences»
— «Une inspection édifiante »
Après quelques moqueries visant la soubrette, la mise en scène de la punition de Déborah est organisée sous la direction de Aline. La contrition masturbatoire de la pénitente est surveillée de si près et le repentir si sincère que robe et lingeries de madame C** en sont inondées. Avant d’accepter d’être totalement ...
... dévêtue, celle-ci est poussée à exiger une inspection intime et humiliante de Sandrine qui la subit à son avantage.
Marie-Blanche est redevenue madame C**. Quoique ses yeux brillants démentent le ton posé qu’elle affecte, son intervention courtoise ordonne clairement la fin de la récréation.
— Si vous me permettez, Chantal, je suis quant à moi rassurée sur la question qui nous occupait. Il serait temps sans doute que Sandrine reprenne son service.
Cette suggestion réanime la petite bonne qui s’efforce de retrouver à la fois une position verticale et une apparence de dignité en dépit de ses émois. La main secourable que lui tend sa patronne nous offre l’exemple d’une bienveillante sollicitude qui ignore superbement la nudité qu’elle assiste autant que sa propre tenue légère. La vérité est plus prosaïque.
— Je crains que ma robe n’attende trop les soins qu’elle réclame, reprend-elle. Vous serez gentille de la porter tout de suite à la buanderie et de rappeler à Germaine de la laver avec précaution. Donnez-lui aussi tous ces vêtements qui traînent et méritent une bonne lessive. Et n’oubliez pas de vous rincer la marguerite, elle doit en avoir besoin.
Sandrine acquiesce par réflexe, tandis que ce n’est plus la bourgeoise guindée, mais l’amie affable qui se retourne vers toi.
— Aline chérie, vous n’y voyez pas d’inconvénient, j’espère ? C’est presque à côté de la salle de bain où elle doit conduire Déborah. Car je suppose que votre employée est autorisée à faire ...