Retournement de situation
Datte: 17/02/2022,
Catégories:
fff,
fagée,
jeunes,
Inceste / Tabou
profélève,
fdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
lettre,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... honte ! N’as-tu donc aucune dignité ? Si tu continues, je raconterai tout en détail à ta mère. Prends plutôt exemple sur Clémence, elle assume ses fautes sans pleurnicher. Voilà comment on peut bénéficier de l’expérience de la formation que mon amie Aline veut bien vous dispenser, l’admoneste-t-elle.
La gamine, moyennement calmée, continue de renifler piteusement, yeux mouillés et nez plein. Tu lui renvoies son string assorti d’un conseil d’une pitié moqueuse.
— Mouchez-vous avec ça, Mademoiselle. Un peu plus, un peu moins… Bon, reprends-tu, approchez maintenant. Toutes les deux, on gagnera du temps. Plus près, s’il vous plaît !
Elles sont proches en effet. Si proches que nos pieds et les leurs s’affrontent en un joyeux entremêlement d’orteils où les ongles rouges le disputent aux ongles nacrés. Une cocasserie qui détend assez l’atmosphère pour adoucir l’irritation de Marie-Blanche et rasséréner un peu plus Viviane. Ton sens de l’organisation ajouté à cette accalmie vient rapidement solutionner le problème. En suivant à la lettre tes judicieuses indications, nous composons bientôt un tableau qui ne déparerait pas les mosaïques scabreuses de Pompéi. Les jeunes debout, les moins jeunes assises, on pourrait l’intituler Présentation des jeunes Nymphes aux Matrones…
Marie-Blanche se retrouve cuisses écartées, la gauche pesant sur la mienne. Entre ses genoux, la jambe gauche de Clémence et la droite de Viviane. Celle-ci a posé sur un accoudoir son pied gauche que ...
... tu maintiens sous ta cuisse droite. Je fais symétriquement l’inverse sur l’autre accoudoir avec Clémence. Celle-ci s’est pliée en souplesse à cette gymnastique. Son pied repose sans effort sous ma cuisse. Viviane a éprouvé plus de difficultés pour prendre la pose. Son équilibre doit être assuré par la pression musclée que ta cuisse exerce sur le cou-de-pied. L’une et l’autre ont dû s’astreindre à l’obligation d’écarter leur sexe à deux mains.
Évidemment, ta position comme la mienne expose sans fard notre vulve. Il y a beau temps que la légère tunique fendue prêtée par notre hôtesse est devenue un tas plus ou moins chiffonné sous tes fesses. Chacune de nos vis-à-vis peut se consoler de son exhibition forcée en comparant nos chattes si elle le souhaite. Entre nous deux, quelques poils argentés s’échappant du haut de son élégante culotte, Marie-Blanche est face aux ventres des deux gamines. Elle est aux premières loges, si j’ose dire. Elle ne s’en offusque pas. Peut-être s’y habitue-t-elle, après tout, ou bien est-ce parce que cet ordonnancement vient de toi.
— Vous êtes la seule à disposer de vos deux mains, ma chérie, lui fais-tu amicalement observer. Voulez-vous avoir la gentillesse de procéder pour moi à l’examen rapproché ?
— Je serai heureuse de vous obliger, Aline, s’exécute-t-elle sans se donner le prétexte de rougir.
Un semblant d’ancienne retenue lui commande de commencer par Clémence sur le pubis de qui se concentrent trois paires d’yeux. Au-dessous de la ...