1. Retournement de situation


    Datte: 17/02/2022, Catégories: fff, fagée, jeunes, Inceste / Tabou profélève, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, odeurs, lettre, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... toilette, maintenant ? Rester dans cet état toute la nuit, n’est-ce pas…
    — À toute pécheresse miséricorde quand la pénitence est subie avec humilité, réponds-tu avec la componction d’une dame patronnesse. Déborah a donc la permission de purifier son corps, sinon son âme, des effets de ses transgressions.
    — Toutefois, vous conviendrez aisément, ma chérie… continues-tu.
    
    Je n’écoute pas la suite, car je profite de l’apaisement des incertitudes de Déborah pour lui souffler à l’oreille d’essayer de soulager Sandrine de sa frustration évidente lorsque l’isolement de la salle de bain lui en donnera l’occasion. Le ton peu amène de ta voix nous ramène aux réalités du temps présent.
    
    — Chantal, Déborah, cessez vos messes basses, ce que je viens d’expliquer à madame C** vous concerne directement ! Je n’ai pas été dupe de votre petit numéro de tout à l’heure.
    — Oh, Aline, je vous en prie, ne soyez pas trop sévère avec elles, tente de modérer Marie-Blanche.
    — Je reconnais bien là votre indulgence, ma chérie, mais je ne peux pas tolérer la façon indue dont vous a aspergée Déborah ! Je vous l’ai dit, elle s’est surpassée de telle sorte que je ne peux guère y voir la mesure qui sied à une pénitente.
    
    Je suis abasourdie. C’est toi qui as tout mis en place pour que les évènements que tu condamnes se produisent. Tu savais exactement ce qui allait arriver. Tu n’ignorais pas les capacités jouissives de Déborah, et, en incitant de manière aussi pressante notre hôtesse à se rapprocher, ...
    ... tu prévoyais sans risque d’erreur de quelle douche elle serait arrosée. Je suis encore plus sidérée d’entendre ta réponse à Marie-Blanche qui plaide encore en faveur de Déborah.
    
    — J’entends bien, ma chère, mais avouez que si elle n’avait pas eu la vanité de se mettre exagérément en valeur et si notre amie Chantal ne l’y avait pas aidée avec tant de malice, vous auriez pu satisfaire votre légitime curiosité sans conséquences aussi désastreuses. Déborah, je rajouterai un châtiment à votre punition publique, demain matin, poursuis-tu en t’adressant à nous, et toi, ma chérie, tu subiras avec elle ce supplément.
    
    Peut-être Marie-Blanche interviendrait-elle pour adoucir la sanction que tu me destines si elle n’était à ce moment crucial brusquement mobilisée par une autre scène. Sandrine, les bras chargés des vêtements qu’elle a ramassés, essaie de renfiler sa blouse, toute et plus imbibée de liquide orgasmique, en cherchant sans succès son string. Ce spectacle pitoyable fait ressurgir la maîtresse de maison chez sa patronne.
    
    — Sandrine, voyons ! Vous n’allez pas remettre cette cochonnerie ! Prenez-la avec le reste et dépêchez-vous d’apporter tout cela à Germaine avant qu’elle monte. Vous avez assez perdu de temps.
    — Mais Madame, je suis toute nue !
    — Et alors ?
    — Ma… Madame, avec les dames de Madame Aline dans la maison…
    — Elles en ont vu d’autres, des demoiselles toutes nues, n’avez-vous pas compris ? Et, ajoute une madame C** perfide, estimez-vous heureuse d’avoir été ...
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