Incroyable
Datte: 16/02/2022,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
hotel,
caresses,
Oral
pénétratio,
fsodo,
nostalgie,
occasion,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... plus excités que jamais et à nouveau prêts à nous ruer l’un sur l’autre. Je voulais voir ses fesses et la prendre en levrette, elle voulait à tout prix boire ma liqueur séminale. Le corps à corps fut délicieusement rude et sans merci. Je la pilonnais longuement, les doigts enfoncés dans les chairs de son fessier écarté, elle se cambrait magnifiquement en poussant des plaintes rauques d’animal pris au piège. Nous finîmes dans un soixante-neuf effréné durant lequel deux de mes doigts lubrifiés par sa cyprine s’agitèrent profondément dans ses deux orifices, tandis que ma bouche aspirait, pinçait et suçait son clitoris dilaté. Elle me pompa à m’en aspirer tout l’intérieur jusqu’à obtenir sa récompense, un majeur insidieux enfoncé dans mon cul jusqu’à la garde pour aller exciter ma prostate. On ne m’avait jamais fait cela, j’eus l’impression de cracher des litres de sperme chaud dans sa bouche accueillante alors qu’elle se tétanisait dans un ultime orgasme. Je ne sais plus comment je me retrouvai encastré contre elle ni quel dernier réflexe nous fit tirer la couette sur nous avant de sombrer dans le sommeil.
C’est son portable qui sonna dans son sac à main, mais c’est sa façon de se lever d’un bond qui me réveilla, un peu. Entre mes paupières mi-closes, je l’aperçus enfiler sa robe et rien d’autre, rouler en boule bas et sous-vêtements, attraper son sac et regagner sa chambre. Il n’était pas tout à fait sept heures, elle avait tout prévu. Trois quarts d’heure plus tard, le ...
... téléphone de l’hôtel me sonna le réveil. Courbatu, l’esprit embrumé, l’anus et le sexe douloureux, j’arrivai dans la salle du petit-déjeuner comme un zombi et saluai à la cantonade les stagiaires déjà présents. Maëlle arriva un instant plus tard, le visage aussi fermé qu’à son habitude, mais fraîche et pimpante, magnifique dans une robe fourreau de satin vert émeraude descendant jusqu’au mollet, mais fendue presque jusqu’à la taille et laissant voir des résilles rouges gainant ses jambes superbes. Elle paraissait en pleine forme comme si elle avait dormi douze heures de rang, à peine pouvait-on distinguer, en l’observant attentivement, une légère ombre sous ses yeux et deux tétons pointés tentant désespérément de percer le satin. Bien sûr, elle posa son plateau devant moi, sa voix profonde lâchant juste un :
— Bonjour !
C’est là que je me rendis compte que, durant tous nos ébats, nous n’avions pas échangé une parole. Nous avions en effet laissé parler nos corps.
L’air frais de la terrasse me fit du bien, la première clope me tourna un peu la tête. Je me demandai comment j’allais assurer ce mardi matin dans l’état comateux où je me trouvais. En fait, dès le début de mon exposé, une sorte de surrégime s’empara de moi et ne me lâcha plus jusqu’au déjeuner. Maëlle ne changea pas ses habitudes, ne prenant pas de notes et verrouillant son regard sur moi, impassible. Cependant, étant seul à lui faire face et elle le savait bien, ses nombreux croisements et décroisements de ...