1. Incroyable


    Datte: 16/02/2022, Catégories: fh, Collègues / Travail hotel, caresses, Oral pénétratio, fsodo, nostalgie, occasion, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... jambes firent tomber les pans de sa robe de part et d’autre de ses cuisses, offertes à ma vue jusqu’à la lisière de ses bas résille. J’aurais déjà bandé comme un fou si ma tâche ne m’avait autant accaparé. Malgré tout, je n’avais qu’une hâte, que cette journée finisse afin que je puisse à nouveau la serrer dans mes bras.
    
    Au repas, je crus un instant qu’elle avait raté son coup, car, après avoir rempli mes occupations d’intendance, elle n’occupait pas une place près de ma chaise restée libre. Et pour cause, elle avait choisi de se mettre face à moi. Dès que je fus assis, ses jambes vinrent se nicher entre les miennes, délicieux contact malgré tout un peu frustrant. Mais au cours du repas, avec toujours la même impassibilité apparente, je sentis un petit pied débarrassé de son escarpin venir se blottir entre mes cuisses et me caresser agréablement le sexe, lui provoquant une formidable érection. C’est à ce moment que l’une des stagiaires, qui me lançait depuis le matin des œillades enflammées, déclara :
    
    — En tous cas, ce matin, votre exposé a été particulièrement clair et intéressant. J’ai vraiment apprécié.
    
    Brouhaha général d’acquiescement. Je sentis une pression rageusement accrue lorsque je lui répondis :
    
    — Merci beaucoup, c’est très gentil à vous. Il est normal d’être un peu plus détendu le second jour, quand tout le monde a pu faire connaissance…
    
    Puis, m’adressant directement à Maëlle :
    
    — Et vous, Mademoiselle, avez-vous… pris votre pied ?
    — C’était très ...
    ... agréable, il est vrai, répondit la voix profonde.
    — Mais ce n’est que cet après-midi que nous en mesurerons l’efficacité au cours des exercices pratiques !
    
    J’aimais bien ces échanges chargés d’allusions, j’aimais bien la sentir un peu jalouse ou du moins sur la défensive. Je dus attacher ma veste pour sortir de table sans trop montrer mon pantalon déformé par l’érection. Pendant ma traditionnelle cigarette d’après repas, la belle Maëlle avait disparu quelques instants aux toilettes, petite parcelle d’humanité banale. Un stagiaire en profita pour me demander :
    
    — C’est votre assistante ? Elle a l’air rudement calée et de bien vous connaître…
    — Pas du tout, une stagiaire comme vous. À moins qu’elle ne soit déléguée par le siège pour me contrôler.
    
    Le garçon ouvrit une grande bouche dans une mimique impressionnée, mais ne put rien ajouter, car la jeune femme réapparut et vint allumer sa cigarette à mes côtés. Nous reprîmes tôt les activités et je pus constater que j’avais effectivement été efficace le matin, car nous terminâmes avec près d’une heure d’avance. Comme il aurait été stupide de commencer l’exposé du lendemain, je donnai quartier libre à tout le monde et montai dans ma chambre. Maëlle m’emboîta le pas, fit une pause sur le palier desservant les deux ailes de l’hôtel afin de ne pas être vue, puis me rejoignit d’un pas alerte à la porte de ma chambre. Dès celle-ci refermée, nos bouches se retrouvèrent pour un baiser profond accompagné d’une puissante étreinte. ...
«12...91011...18»