Incroyable
Datte: 16/02/2022,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
hotel,
caresses,
Oral
pénétratio,
fsodo,
nostalgie,
occasion,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... puissants va-et-vient couchée sur ma poitrine. Ma queue comprimée dans le délicieux étau de son conduit subissait le dernier des supplices. Comme si elle percevait directement mon niveau de jouissance, elle me maintint ainsi sur le fil de l’orgasme durant de longues minutes, laissant monter le sien vers une explosion commune. Dès qu’elle était dressée, j’en profitai pour m’emparer de ses tétons, inutile de parler de seins, les pinçant et les roulant entre mes doigts. Chaque fois je sentais à ses contractions vaginales que son plaisir montait d’un cran, puis elle refusait de se laisser emporter plus loin en retombant sur moi, m’interdisant l’accès à ses clitoris annexes.
N’y tenant plus, poussé par l’impérieuse nécessité de l’inonder de ma semence, je la serrai contre moi et, dressé sur mes talons, me jetai dans une ultime et violente succession d’allers-retours, percutant ses fesses dans des clapotis humides. L’éjaculation fulgurante qui s’en suivit me fit mal à l’intérieur de la verge, le conduit dilaté par une pression inouïe, inconnue jusque-là. J’en criai de douleur autant que de plaisir, elle mêla un rugissement libératoire à ma plainte, nos deux corps imbriqués et tétanisés dans la même explosion sensorielle. Ça, c’était de l’orgasme ! Pas une jouissance, un petit plaisir gentil. Non, vraiment la petite mort, le 380 volts qui traverse deux êtres et les met KO.
Nous restâmes immobiles un long moment, physiquement et mentalement disjonctés. Quand petit à petit la ...
... conscience nous revint, Maëlle fut prise de soubresauts sporadiques qui la faisaient sauter au-dessus de moi de quelques centimètres, des secousses bizarres, répliques du séisme que nous venions de vivre, s’atténuant peu à peu. Nos corps étaient trempés de sueur et comme vidés de toute substance. J’étais ravi d’être logé dans une autre aile que les stagiaires, parce que le voisinage avait forcément profité de la violence sonore de nos ébats. Ce que j’ignorais encore, c’est que ça n’était que le début.
Maëlle bascula sur le côté, se détachant de moi dans le son humide de nos peaux et de nos sexes collés par la sueur et nos sécrétions. Instants d’hébétude et d’épuisement nécessaires au retour sur le plancher des vaches depuis le septième ciel où nous étions partis. Je sentis mon sexe rétréci fuir sur mon ventre des dernières gouttes de sperme qu’il contenait, alors que des effluves corporels envahissaient doucement la pièce. Je me décidai donc à aller prendre une douche, le mollet flageolant et la tête bourdonnante. Elle me suivit, la main en coupe entre ses jambes pour éviter de tacher la moquette. Mauvaise (ou excellente) idée. Bien sûr, l’exiguïté de la cabine de douche favorisa de nouveaux contacts, de nouvelles sensations. Elle me savonna, je la savonnai, elle insista sur ma triplette génitale, j’insistai sur sa triplette érectile, puis nos corps tout entiers se frottèrent l’un à l’autre dans d’interminables enlacements ponctués de nombreux baisers.
Nous en ressortîmes ...