1. Incroyable


    Datte: 16/02/2022, Catégories: fh, Collègues / Travail hotel, caresses, Oral pénétratio, fsodo, nostalgie, occasion, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    Encore aujourd’hui, je dois me pincer en évoquant ce souvenir merveilleux, mais tellement improbable qu’il reste gravé dans ma mémoire au registre du fantastique, de la fiction, et pourtant…
    
    Après m’être copieusement ennuyé durant des années dans des réunions stériles, des séminaires inutiles et des regroupements sans intérêt et les avoir sévèrement critiqués, vint le temps où je fus chargé, à mon tour, d’animer ce genre de sessions. Juste retour des choses, peut-être, moyen de faire taire un élément gênant pour la hiérarchie, ou tout simplement promotion et ancienneté qui vous placent là où vous n’auriez jamais voulu être. Pas le choix, il faut assumer. Ce fut un moyen pour moi de m’exercer à la pédagogie, à la communication et à la gestion de groupe, en somme d’apprendre des choses nouvelles, de mesurer aussi combien l’art est difficile. Mais, en toute modestie, je pense avoir été plutôt bon dans cet exercice, tout simplement en restant naturel, moi-même, sans chercher à jouer ce rôle odieux d’être « celui qui sait » devant un parterre « qui ne sait pas ». Ça marchait plutôt bien, très bien même, au point qu’on me confia un « tour de France » pour porter la bonne parole de l’entreprise. Période tout à fait agréable, car il est rare de faire autant de « tourisme » aux frais de la princesse, dans d’excellentes conditions.
    
    C’est au cours de l’une de ces sessions, un séminaire d’une semaine, que je l’ai rencontrée, ou plutôt qu’elle est venue à ma rencontre dans des ...
    ... conditions pour le moins surprenantes. Il n’était pas rare de repérer dans l’assistance des stagiaires une ou deux jolies femmes, de les draguer un peu et de parvenir à « conclure » une ou deux fois. L’animateur possède toujours une sorte d’aura qui facilite un peu les choses, il est vrai, mais ça reste malgré tout marginal, d’autant qu’on sait pertinemment qu’on a fort peu de chances de se revoir un jour. Avec Maëlle, rien ne s’est passé comme à l’ordinaire. Bien sûr, comme beaucoup d’autres participants, j’ai flashé dès le premier jour sur ses jambes : des jambes de rêve, longues et fuselées, mais musclées et assez épaisses cependant, enchaînant les courbes des talons jusqu’aux fesses, dans un sens comme dans l’autre. Je veux dire par là que son postérieur était rebondi, pommé et ferme de profil, mais que de face ou de dos, le galbe de ses hanches, renforcé par une taille fine, était tout à fait remarquable.
    
    Ajoutons à cela un très joli minois aux traits doux et fins, de magnifiques yeux bleus comme les eaux du Pacifique, et une coiffure blonde aux cheveux mi-longs complètement asymétrique : un côté complètement dégagé dévoilant une oreille au lobe délicat, un véritable coquillage, et de l’autre un rideau blond qui flottait au ras de l’épaule, de la nuque à la joue. C’était très original et très heureux. Une robe moulante s’arrêtant au-dessus du genou dévoilait assez largement ses cuisses lorsqu’elle était assise. Seule ombre au tableau, pas de poitrine. Mais alors pas de ...
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