1. Incroyable


    Datte: 16/02/2022, Catégories: fh, Collègues / Travail hotel, caresses, Oral pénétratio, fsodo, nostalgie, occasion, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... Ma main descendit rapidement dans l’ouverture de sa robe, cherchant sa peau douce et son entrecuisse.
    
    — Hé, hé, hé ! Doucement, Monsieur, je n’ai pas trente-six robes…
    
    Elle se tourna pour que je descende la fermeture à glissière, quitta le satin en deux enjambées et suspendit la robe sur un portemanteau à portée, puisque nous étions toujours dans l’entrée. Miracle, bonheur, elle ne portait sous sa robe que bas et porte-jarretelles. Mon sang ne fit qu’un tour, je sortis mon sexe déjà comprimé et la poussai contre la porte d’entrée. Je l’enfilai sauvagement, debout, d’une unique poussée verticale. Elle couina de surprise autant que de douleur pour cette féroce entrée en matière, mais elle était bien coupable de m’avoir allumé toute la journée. Les mains à plat sur la porte, elle décollait presque du sol à chacun de mes coups de boutoir en jappant comme un terre-neuve. Emportée par cette tourmente, elle se laissa faire dans un premier temps. Puis son naturel reprit le dessus, je crois surtout qu’elle ne voulut pas que je m’épanche trop vite en elle, et elle se retourna brutalement, me laissant en costume cravate et bite à l’air. Un baiser pour me calmer et elle me tira par la cravate jusque dans la chambre où elle s’attaqua à mes vêtements. Je fus dénudé en un clin d’œil, elle s’assit au bord du lit cuisses largement ouvertes et me tira vers le bas pour que j’enfouisse mon visage entre elles. Se laissant choir sur le dos, elle se délecta de mes coups de langue en ...
    ... pressant ses tétons. J’alternai ma succion et mes intromissions de l’anus au clitoris, bien décapuchonné par deux doigts. Elle se laissa porter ainsi jusqu’à l’orgasme, mouillant abondamment, et je lapai toute sa cyprine délicieusement aigre-douce.
    
    Dès son plaisir atteint et sans lui laisser le temps de se ressaisir, j’enfilai mon sexe dans son étroit vagin, profitant des dernières contractions. Je la besognai ainsi longuement, à genoux au pied du lit, tantôt écartant largement ses cuisses, excitant de mes doigts au-dessus son clitoris et fouillant son œillet détrempé au-dessous, tantôt resserrant ses chevilles sur mes épaules pour la rendre encore plus serrée. J’adorais cette image de ses fins escarpins dorés et de ses étuis de résille rouge autour de mon visage, je la trouvais d’un érotisme fou. Si bien que, me dressant sur mes pieds et écrasant mon buste vers le sien, je lui fis basculer son bassin vers le haut pour la pilonner encore de tout mon poids.
    
    Je vis enfin au grand jour son visage se déformer sous le plaisir, le blanc de ses yeux s’injecter de sang, sa bouche chercher l’air que sa poitrine écrasée par ses genoux ne pouvait plus inspirer. La foudre orgasmique nous atteignit soudain, moi dans les reins me faisant cambrer en hurlant et en déversant mes jets de semence dans son ventre, elle en lui donnant la soudaine force de dégager ses jambes et de s’arc-bouter entre sa tête et ma queue. Vraiment cette fille me donnait des orgasmes incroyables et… partagés. Il est ...
«12...101112...18»