Beautés rurales
Datte: 15/02/2022,
Catégories:
fh,
fhh,
fplusag,
inconnu,
Collègues / Travail
poilu(e)s,
bizarre,
campagne,
collection,
caresses,
entreseins,
Oral
préservati,
pénétratio,
confession,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... enherbée, mais dégagée où trônait, à l’ombre de chênes et de cèdres centenaires, un reste de château en grande partie écroulé. L’édifice avait dû être moyenâgeux à la base, mais une aile avait dû être rapportée ou reconstruite à la renaissance : tours rondes, tuffeau, hautes cheminées, ça sentait le Chambord en beaucoup plus petit et beaucoup plus abîmé. Les toitures étaient écroulées, mais les salles voûtées du rez-de-chaussée restaient accessibles, même si la pluie et le gel avaient dévasté les ornements qu’on imaginait somptueux. Mathilde se saisit du plaid qui couvrait les sièges usagés de la 4L et déclara :
— C’est le château de la belle au bois dormant, et tu vas me tirer de mon profond sommeil…
De son sommeil je ne savais pas, mais la tirer c’était sûr ! Elle jeta la couverture sur une maie, sorte de gros coffre de bois, le seul « meuble » encore debout dans ces ruines, posa jupette et débardeur en un tournemain et s’allongea. Je ne me fis pas prier pour me dévêtir également et accéder enfin aux délices qui m’avaient tant tenté tout à l’heure. Je plongeai ma tête entre ses cuisses et dégustai avec gourmandise son jardin secret. L’intérieur de ses cuisses était aussi doux et tendre que je l’avais imaginé, sa touffe drue révéla une vulve gonflée et charnue traversée d’un profond sillon qui ruisselait à souhait. Elle râlait, gémissait, s’arc-boutait, lançait son bassin vers ma bouche. Quand je fus rassasié de ses sucs, je tirai sur ses jambes pour l’amener au bord ...
... du meuble et l’embrochai d’un coup de rein tout en gobant ses tétons dressés. Cette seule entrée en matière, si j’ose dire, lui procura un premier orgasme, la secouant de spasmes désordonnés. J’en profitai pour la faire se retourner afin de profiter d’un fessier qui me paraissait somptueux. Il l’était. Large, profond, la raie culière particulièrement bien dégagée, la vulve velue bien saillante, j’y plongeai mon dard surchauffé avec délice.
En grenouille sur son coffre et moi debout derrière elle à la bonne hauteur, mon ventre frappait son cul d’une cadence soutenue, et nos sexes faisaient le même bruit humide qu’un canard dans une mare. La coquine glissa une main entre ses cuisses pour s’emparer de mes couilles et les presser contre son bouton d’amour. Son œillet semblait me regarder et cligner en rythme, s’ouvrant de plus en plus au fil de la montée du plaisir. C’était peut-être la réponse à mon problème de l’instant : je n’allais pas tenir longtemps à ce rythme, mais je ne voulais pas risquer de la mettre enceinte. En même temps, je mourrais d’envie d’éjaculer en elle. Elle partit la première, criant son plaisir en frappant de grands coups sur le coffre. J’en profitai pour sortir mon sexe dégoulinant de cyprine et le plonger dans son petit orifice tant qu’elle agonisait encore dans sa jouissance. Je poussai, elle hurla, chercha à s’échapper, mais il était trop tard, car mon gland dilaté avait déjà passé le sphincter. Comme elle continuait de se trémousser pour fuir mon ...