Beautés rurales
Datte: 15/02/2022,
Catégories:
fh,
fhh,
fplusag,
inconnu,
Collègues / Travail
poilu(e)s,
bizarre,
campagne,
collection,
caresses,
entreseins,
Oral
préservati,
pénétratio,
confession,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... invasion en me traitant de tous les noms d’oiseaux, je lâchai sa hanche pour claquer rudement sa fesse rebondie.
Elle émit une sorte de jappement et se calma un peu, puis reprit ses tentatives et reçut une autre claque, puis une troisième. Je compris vite qu’elle faisait exprès de provoquer cette fessée improvisée, je la poursuivis donc. Joue et seins sur la couverture, bras tendus en avant comme un chat qui s’étire, elle vint s’empaler elle-même sur ma queue tandis que ses fesses viraient au rouge vif. Un râle rauque sortait de sa poitrine, s’amplifiant sous mes coups de boutoir, hoquetant sous mes claques violentes, ses contractions anales me broyaient le sexe dans des sensations d’une extraordinaire félicité. Quelques assauts plus lents, plus violents et plus profonds et j’explosai en elle en jets généreux. Elle hurla son plaisir douloureux, faisant s’envoler quantité d’oiseaux des ruines. Je sortis d’elle anéanti, elle s’effondra sur la couverture, un filet d’épais liquide couleur café au lait sourdait de sa rosette dilatée, explosant parfois en pets humides. Elle s’épongea avec un coin du plaid, je m’essuyai avec un mouchoir.
— Salaud, qu’est-ce que tu m’as mis !
— Tu l’as bien cherché, non ?
— J’ai été servie au-delà de mes espérances. Je crois que je ne pourrai pas m’asseoir avant quinze jours.
— Bon, c’est pas tout ça, mais je travaille moi. Allez, je te ramène.
— Zut, c’est vrai, il faut que je fasse à manger pour le père…
— Tu restes tout le temps à la ...
... ferme ?
— Ça va pas, non. Je suis là parce que j’ai plus cours. Je suis en BTS.
En la ramenant chez elle, je lui racontai comment j’avais été amené à prendre ce job d’été. Elle m’expliqua vouloir prendre un peu soin de son père, si triste depuis la mort de sa mère emportée par un cancer du sein mal soigné, en fait pas soigné du tout. Quand elle est entrée à l’hôpital, il était trop tard. Nous nous promîmes de nous revoir.
L’épouse volage
Je repartis tout chose pour la suite de ma tournée, la chemise trempée de sueur, le slip trempé de sécrétions diverses. Chou blanc à la ferme suivante : personne en vue, tout le monde devait être aux champs. Tant mieux, je décidai donc de rentrer prendre une douche, me changer et déjeuner tranquillement. J’en profitai pour repasser à la boîte prendre la commande de ma première cliente. Je visitai ensuite une ferme rébarbative, d’abord à cause de deux bas-rouges en liberté qui me firent un accueil de facteur, puis une autre dirigée par un vieux patriarche qui refusait systématiquement ce que son fils aurait bien voulu m’acheter. Pas toujours facile ce boulot.
Je retournai donc livrer la belle excitée qui m’avait promis ses madeleines. Je la trouvai en train de nourrir sa basse-cour à grandes volées de grains au travers du grillage, elle fit mine d’être surprise, ne m’attendant que le lendemain. Il n’empêche qu’une petite robe à fleurs avait remplacé la blouse hideuse, une robe de cotonnade très claire serrée à la taille par une ...