1. Beautés rurales


    Datte: 15/02/2022, Catégories: fh, fhh, fplusag, inconnu, Collègues / Travail poilu(e)s, bizarre, campagne, collection, caresses, entreseins, Oral préservati, pénétratio, confession, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... sauvages. Le tracteur s’arrêta, un homme en descendit, j’allai à sa rencontre. Le bonhomme, à la mine triste et renfermée, m’accueillit froidement et alla droit au but. Il voulait un engrais particulier pour ce type de terre et la culture qu’il voulait y faire, mais ne savait pas quelle quantité commander. Nous allâmes jusqu’à ma camionnette pour consulter les spécifications, je lui fis un rapide calcul au dos de mon carnet de commandes, quantité et prix ; il accepta sans sourciller et signa le bon que je remplis avec lui. Pendant ce temps, sa fille avait d’abord allumé l’autoradio de la 4L, puis en sortit en chantonnant.
    
    — T’es encore habillée comme une gourgandine, Mathilde.
    — Comme je veux, comme toutes les filles d’aujourd’hui.
    — Pas vingt ans et elle en fait qu’à sa tête, s’excusa le bonhomme…
    
    Puis il repartit vers son tracteur après m’avoir salué, toujours aussi froidement. Nous remontâmes en voiture sa fille et moi, tous deux d’humeur assez guillerette. Je venais d’emporter une commande assez conséquente. Mathilde de son côté continuait de chantonner avec la radio, un brin d’herbe et un petit sourire aux lèvres. Elle me dit soudain :
    
    — Vous avez un drôle de chiffon pour essuyer votre pare-brise, en désignant une étoffe blanche sur la planche servant de boîte à gants…
    
    Je pris la chose qui se déplia entre mes doigts. Je donnai un coup de patin qui fit tanguer le véhicule. C’était sa culotte, qu’elle avait dû poser tandis que nous discutions, son père et ...
    ... moi. Pour une provocation c’en était une, très claire. Ma bandaison me reprit instantanément. Je gardai le vêtement dans ma main et le portai à mes narines :
    
    — Hum… Ça sent rudement bon, un parfum de petite chatte en chaleur…
    — Hé-hé…, fut la seule réponse.
    
    Puis elle se lova contre moi, ce que ce véhicule pratique permettait aisément : pas de ceintures de sécurité, levier de vitesses et frein à main au tableau de bord. Je m’arrêtai pour lui rouler une pelle mémorable, et cette folle furieuse m’aurait bien dévoré tout cru. Elle sentait bon la femelle et le savon, il faisait chaud et mon érection était à son comble. Mes mains s’égarèrent sur ses petits seins tout durs, sur son large fessier et ses fesses fermes à souhait. Il fallait réfléchir vite : dans l’étroit habitacle, impossible ; l’arrière était plein d’échantillons et de livraisons, impossible ; là dehors en plein chemin creux, trop risqué compte tenu de la tronche pas commode de son paternel. Comme si elle devinait mes pensées, elle me demanda :
    
    — Tu connais le château du Breuil ? (Tiens, elle me tutoyait maintenant !)
    — Non ?
    — Alors, démarre… là, prends à droite et tout de suite à gauche…
    — Mais, c’est plein de ronces !
    — Et alors ? C’est pas ta voiture, tu t’en fous !
    — D’accord.
    
    La pauvre 4L bringuebala dans un souvenir de chemin, branches et ronces crissaient sur la carrosserie, nous obligeant à fermer les vitres coulissantes pour ne pas être griffés. Nous arrivâmes enfin sur une sorte d’esplanade ...
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