1. Beautés rurales


    Datte: 15/02/2022, Catégories: fh, fhh, fplusag, inconnu, Collègues / Travail poilu(e)s, bizarre, campagne, collection, caresses, entreseins, Oral préservati, pénétratio, confession, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... compliments :
    
    — Évidemment, avec des jambes aussi longues (ce qui était vrai), ça ne laisse pas grand-chose pour faire un joli nœud… Et puis je ne suis pas très fort en matière de paquet cadeau ! …
    
    Je passai ensuite à l’autre espadrille, m’emparant du petit pied nu pour le fourrer dans le chausson, puis entamai le second laçage. Je continuai mon baratin, prenant tout mon temps, ne me lassant pas de contempler cet attirant entrecuisse.
    
    — Mais vous savez, vous pouvez aussi enrouler les rubans autour de la cheville et les nouer en bas, ou également les couper plus court pour les nouer simplement sur le dessus de vos petons…
    
    Sous prétexte de réaliser un laçage bien symétrique, j’en profitai pour repasser les mains le long des deux mollets, puis les rapprochai en plaçant mes paumes de chaque côté des genoux, laissant mes doigts courir sur l’extérieur de ses cuisses. Ses jambes longues et fuselées, quoiqu’un peu épaisses aux jointures, étaient légèrement bronzées d’un hâle naturel, renforcé par la présence d’un fin duvet doré qui ne méritait pas l’épilation, mais procurait un contact doux très érotique. Là, je bandai comme un âne, souffrant martyr dans l’étroitesse du jean. Quand je lui écartai de nouveau les cuisses pour un dernier petit réglage, et surtout coup d’œil, je constatai avec délice qu’une petite auréole humide marquait désormais le fond de la culotte. J’aurais bien plongé à pleine bouche dans ce nid qui semblait si douillet.
    
    Après un « Et voilà… », ...
    ... pour indiquer que mon travail était terminé, elle sembla sortir d’un moment de léthargie, se dressa sur ses longues jambes et virevolta pour tester le laçage. Je restai un instant accroupi pour admirer le résultat. Sa jupette à volants de crépon se souleva, me laissant voir l’ensemble de ses jambes musclées. À l’arrière des cuisses, le bord du banc avait laissé une trace rose foncé sur une peau encore exempte de cellulite, et ses fesses pommées étaient nettement séparées par une large vallée où le coton blanc de la culotte s’enfonçait, occupant l’espace ouvert par un bassin assez large, renforçant la finesse de la taille. En me redressant, je pus constater que le débardeur, bleu pâle, était repoussé vers l’avant par deux tétons fort érigés sur des seins plutôt petits, mais manifestement libres de toute contrainte.
    
    — Merci, Monsieur, vous avez des mains magiques… Mais au fait que désirez-vous ?
    — Je suis venu voir votre père, je suppose, Monsieur Dufeu. Je travaille pour la Coopérative agricole…
    — Ah oui ! Mon père vous attendait, il m’a demandé de vous conduire jusqu’à lui. Parce que si je vous dis qu’il est dans la pièce du Grand Chaume, ça ne vous avancera pas beaucoup.
    — En effet. Eh bien, allons-y…
    
    Elle sortit et s’installa tout naturellement à la place passager de la 4L. Elle me dirigea dans un entrelacs de petits chemins plus ou moins creux, jusqu’à un tertre dominant un vallon de belle terre en pente légère. Un tracteur en faisait le tour, élaguant des haies ...
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