1. Beautés rurales


    Datte: 15/02/2022, Catégories: fh, fhh, fplusag, inconnu, Collègues / Travail poilu(e)s, bizarre, campagne, collection, caresses, entreseins, Oral préservati, pénétratio, confession, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... alors qu’elle, visiblement dépourvue de glandes mammaires, toute l’érection était projetée vers l’extérieur. C’était adorable et ainsi moins frustrant que je ne le pensais au départ. Une autre caractéristique de ces curieuses choses érectiles, c’était leur connexion directe avec son sexe : elle semblait avoir trois clitoris. Ma main restée à l’étage humide recevait autant de contractions et de flux vaginal quand je roulais ses tétons que quand je titillais son bourgeon. La belle petite ne retenait plus ses gémissements, puis m’attrapa soudain par le cou à deux mains pour me murmurer plaintivement à l’oreille :
    
    — Prends-moi, j’t’en supplie prends-moi…
    
    Peut-on résister à une telle supplique quand on a déjà une barre dressée dans le pantalon ? Je me reculai pour me dépouiller de mes vêtements, car il faisait encore très chaud dans ce hangar de tôles, pendant qu’elle larguait son dernier rempart, sa jupette. Elle regrimpa sur l’escabeau, mais de face cette fois, tendant son volumineux postérieur et guettant mon assaut par-dessus son épaule. Avait-elle aussi pris des leçons en observant les saillies animales ? Je sus plus tard qu’elle était fille d’agriculteur, un gros exploitant céréalier d’un autre secteur que le mien (ça m’arrangeait), l’un des administrateurs de la Coopérative, ce qui avait grandement facilité son embauche.
    
    Ses fesses volumineuses s’offrirent sans difficulté et il suffit à mon gland de suivre les filets de cyprine qui sourdaient de son sexe, ...
    ... mouillant copieusement l’intérieur des cuisses et le bourrelet des fesses. Elle n’était pas vierge, mais certainement peu visitée tant son vagin était étroit. Un délice, qui réclamait cependant un peu de délicatesse et de patience. Il me fallut pénétrer progressivement avant d’atteindre la garde, puis étirer doucement les chairs étroites en oscillant en tous sens avant de sonner la charge. Elle ronronnait, miaulait puis se mit à ahaner tout en accompagnant mon pilonnage par de courtes flexions sur son escabeau. Elle s’y reprit à trois fois pour lâcher un râle magistral qui emplit tout le volume du hangar d’un écho de brame, sauvagement puissant et bestial. Je la suivis dans son orgasme et éjaculai prodigieusement sur son dos. Je dis prodigieusement, car rares furent les filles qui m’avaient donné un tel plaisir : le premier jet atterrit dans ses cheveux, le suivant sur ses omoplates, et d’interminables spasmes me secouèrent tandis que les dernières gouttes trouvaient refuge sur le promontoire de son fessier rebondi.
    
    Estelle était charmante, timide et totalement dévouée. Elle voulait bien tout ce que je voulais. Un bonheur donc en apparence, sauf que ces qualités allaient de pair avec quelques défauts. D’abord, elle n’avait inventé ni la poudre ni l’eau tiède, et nos conversations tournaient au monologue et se finissaient au lit, là où cette jeune fille se mit rapidement à exceller. Car, faussement naïve, elle mettait en application un précepte de sa grand-mère :
    
    — Un homme, ça ...
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