Beautés rurales
Datte: 15/02/2022,
Catégories:
fh,
fhh,
fplusag,
inconnu,
Collègues / Travail
poilu(e)s,
bizarre,
campagne,
collection,
caresses,
entreseins,
Oral
préservati,
pénétratio,
confession,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... blondinette plutôt timide, mais sympathique. Elle hésita sur deux ou trois lignes mal écrites ou raturées, je restai donc avec elle un long moment. J’en profitais pour la détailler. Elle était assez mignonne, pas très grande, le minois encore enfantin. Je la pensais très jeune, elle avait en fait deux ans de plus que moi, on peut se tromper. Je compris vite ce qui avait pu m’induire en erreur, elle n’avait pratiquement pas de poitrine. Il fallait chercher sous son pull au crochet. Comme j’étais bien épuisé par ma chaude journée avec Catherine, je me dis qu’il n’était pas opportun de pousser plus loin ce soir, mais elle semblait ne pas être pressée du tout de me quitter.
Je revins le lendemain, plus frais. Je n’avais pas de grosse commande comme la veille, mais un tas de petites bricoles que je souhaitais livrer moi-même le lendemain. C’est le patron qui me l’avait conseillé ! Je fis en sorte de ne pas trouver grand-chose, elle m’accompagna donc dans l’immense hangar de stockage. Elle portait son même chandail à mailles larges sur une jupette pas vraiment mini, plutôt corolle. Je compris pourquoi quand elle grimpa chercher un objet sur un escabeau, ses jambes étaient courtes et épaisses, une mini serrée ne l’aurait pas avantagée. Il n’empêche que tout ça était plutôt excitant et que je m’arrangeais pour tenir régulièrement l’échelle, la laissant redescendre de plus en plus près de moi. La timide le semblait de moins en moins, jusqu’au moment où ce qui devait arriver ...
... arriva : elle fit mine de tomber, s’accrocha à mon cou, et tout cela finit par un long baiser.
Elle respirait vite et fort par les narines dilatées de son petit nez retroussé. Mes mains s’égarèrent un peu partout, pétrissant surtout son postérieur charnu, tandis que nos langues dansaient une valse infernale entre nos lèvres soudées. Une sorte de buée couvrit soudain sa peau douce, rendant mes caresses plus difficiles, moins coulées. Je sus qu’elle était à point. Toujours juchée sur le premier barreau de l’échelle, elle était juste à bonne hauteur. Sa culotte de coton blanc ne résista pas à la traction et glissa jusqu’à ses genoux, puis jusqu’aux pieds, tandis que ma main s’emparait de sa vulve, ronde, épaisse, charnue et dilatée à souhait. Mes doigts fourragèrent sa toison légère et dégagèrent leur chemin vers son sillon. Elle geignait doucement par le nez, sa bouche toujours prisonnière de la mienne. Je barbotais de longues minutes dans sa source, mon autre main enlevant son tricot avec son aide. Inouï !
Inouïs ses petits seins qui se réduisaient aux seules aréoles qui se dilatèrent sous mes caresses d’abord, sous mes baisers et mes aspirations ensuite. En fait, elle commença à n’avoir un peu de poitrine qu’au comble de l’excitation : les aréoles prirent un volume considérable, prolongées par ses tétons formant deux cônes fermes et souples comme du caoutchouc. J’en conclus que peut-être une partie du gonflement des aréoles était absorbée par les seins de celles qui en ont, ...