1. Beautés rurales


    Datte: 15/02/2022, Catégories: fh, fhh, fplusag, inconnu, Collègues / Travail poilu(e)s, bizarre, campagne, collection, caresses, entreseins, Oral préservati, pénétratio, confession, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... est en chaleur et un peu difficile en ce moment.
    
    J’attendis tranquillement en faisant notre petite vaisselle, ce qu’elle apprécia à son retour. Je la vis sortir une petite camionnette attelée d’un van. Je pus enfin aller récupérer ma chemise oubliée dans l’étable, le molosse étant de nouveau sous le contrôle de sa maîtresse. Les vaches étaient sorties dans un pré par la porte de derrière. Elle m’emmena jusqu’à un gros bourg voisin, à une vingtaine de kilomètres, en tirant le van. Nous nous arrêtâmes dans une petite rue derrière l’école, un portail s’ouvrit et nous laissa entrer. C’était une « station d’étalons », un endroit où les propriétaires amènent leurs juments pour les faire saillir par des étalons de plusieurs races. Elle eut un peu de mal à faire sortir sa jument, visiblement très excitée, deux types de la station munis de longes l’aidèrent. Après quelques consignes, elle revint vers moi :
    
    — Regarde bien, c’est un spectacle magnifique…
    
    La jument maintenue, on sortit l’étalon. Les deux animaux firent brièvement connaissance, croisant leurs encolures, puis l’on vit le sexe de l’étalon se déployer jusqu’à devenir immense, plus de cinquante centimètres. Il fit le tour de la jument et se dressa sur les pattes arrières, les antérieurs sur son dos. L’énorme pénis chercha son chemin, un aide écarta la queue de la jument, et il n’y eut que trois ou quatre formidables coups de reins avant que les deux bêtes de plus de trois cents kilos ne se calment. L’étalon retomba ...
    ... au sol, son pénis ramolli relâchant encore un verre de sperme sur les pavés. On le ramena dans sa stalle. Catherine avait posé sa main sur ma cuisse qu’elle pétrissait, je faisais de même avec sa fesse. La jument remonta dans son van, apaisée. Nous restâmes regarder encore deux autres saillies, dont celle de percherons, impressionnantes bêtes de huit cents kilos. J’avais la gorge nouée, les tempes palpitantes, c’était à la fois impressionnant et monstrueusement excitant, un écho provenant de mon cerveau reptilien semblait répondre à ce spectacle prodigieux, tellement naturel et banal. Nous remontâmes silencieux en voiture. Traversant un petit bois, Catherine freina et s’arrêta dans un petit chemin en soufflant :
    
    — Putain, j’peux plus tenir…
    
    Je la pris là sur le capot de la camionnette, la bourrant avec une violence inouïe. Elle beugla son plaisir à la cantonade, je libérai le mien à nouveau dans son étroit conduit encore lubrifié de ma saillie du matin.
    
    Sur le chemin du retour, elle commenta :
    
    — Tu vois, comment veux-tu que nous ne soyons pas sexuellement libérées ? Notre quotidien c’est ça, tout ça en permanence. Normal que quand on chope un mâle pas trop moche et pas trop crétin on ait une furieuse envie de se reproduire. Le problème avec les gars du coin c’est qu’on les connaît trop. On est allé à l’école avec eux, on les a vus bourrés, dans tous leurs vices, leurs mesquineries, leurs bassesses… Moi par exemple, dès que je me suis retrouvée seule, c’était le ...
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