Beautés rurales
Datte: 15/02/2022,
Catégories:
fh,
fhh,
fplusag,
inconnu,
Collègues / Travail
poilu(e)s,
bizarre,
campagne,
collection,
caresses,
entreseins,
Oral
préservati,
pénétratio,
confession,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... même légèrement pour mieux se voir pénétrée, je lui donnai du spectacle en sortant puis en replongeant dans sa vulve dilatée. Elle explosa soudain d’invraisemblables secousses en couinant comme une truie. Je ne lui laissai aucun répit, voulant jouir à mon tour. Mais elle parvint à dire entre deux spasmes :
— Oh là là, si mon mari arrivait…
— Eh bien installe-toi devant la fenêtre, tu le verras venir !
Elle se redressa, je sortis d’elle, la queue dressée vers le plafond, la base entourée d’une mousse blanchâtre. Comme en cuisine, la cyprine battue a tendance à monter en neige. Il y avait quelque chose de profondément ridicule dans cette femme dandinant ses formes généreuses vers la fenêtre, vêtue de ses seules ballerines rouges, l’intérieur des cuisses luisant de sécrétions. Mes jambes vibraient de l’effort produit pour me mettre à sa hauteur, j’étais en nage, mais il fallait impérativement que je vide mes glandes. Et comme elle était mariée, je n’allais pas me gêner pour lui remplir son gousset charnu.
J’y retournai. Les rideaux « bonne-femme » devaient laisser voir le curieux spectacle, de l’extérieur, de ses gros seins tressautant sous mes coups de boutoir. Pressé d’en finir, je la décollai presque du sol à chaque ruée. Elle explosa à nouveau, je la suivis de près, inondant sa grotte de mes jets de sperme fraîchement reconstitué. Elle glissa sa main entre ses cuisses pour éviter de tacher le parquet d’écoulements suspects, et trottina ainsi à demi-courbée vers la ...
... cuisine, lieu de toilette comme souvent à cette époque où la salle de bains n’était pas encore arrivée dans les campagnes. Pragmatique et sans vergogne, j’essuyai ma queue dans la dentelle de sa culotte avant de me rhabiller. Je quittai ma nouvelle maîtresse non sans un dernier baiser, une dernière main sur ses gros appâts.
— Tu reviendras vite, dis ? demanda-t-elle anxieuse.
— Ça ne tient qu’à toi : pour une nouvelle commande.
— Salaud ! Adorable salaud ! Non, pour me faire l’amour encore ?
— D’accord, mais cette fois par ton petit trou du cul, répondis-je en plaçant un doigt sur sa rondelle.
— Non ! Ça doit faire mal…
— Mais non. Comment crois-tu qu’elles font, les filles d’aujourd’hui, pour baiser comme des folles sans avoir d’enfants ? Y en a même qui arrivent vierges au mariage en ayant eu des tas d’amants. Prépare-toi, ce sera plus facile… Je reviendrai dans une semaine.
Sur la route du retour, j’étais épuisé, tremblant de fatigue, le sexe palpitant et pas totalement dégonflé. Complètement abasourdi par cette journée. Pour la première fois de ma courte vie sexuelle, j’avais baisé avec deux femmes dans la même journée, des femmes que je ne connaissais pas deux jours avant. J’étais étonné et fasciné par la gourmandise sexuelle de ces beautés rurales. Ça allait changer tout mon comportement. Parce qu’il est utile de replacer cette époque bénie de libération sexuelle dans son contexte réel de province. En fait de libération, nous portions encore très largement le ...