1. Beautés rurales


    Datte: 15/02/2022, Catégories: fh, fhh, fplusag, inconnu, Collègues / Travail poilu(e)s, bizarre, campagne, collection, caresses, entreseins, Oral préservati, pénétratio, confession, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... J’essaye.
    
    Quelle douceur et quelle chaleur de peau ! J’avais vraiment envie d’en tâter plus.
    
    — C’est beaucoup mieux comme ça, approuvai-je. Il n’y a plus qu’un détail qui cloche…
    — Ah oui ? Lequel ?
    — Regardez votre dos : toutes ces bretelles qui se croisent ce n’est pas très heureux.
    
    Joignant le geste à la parole, je dégrafai le soutien-gorge et l’aidai à le retirer sans enlever la salopette. Elle ne protesta qu’à demi. Les deux melons soudain libres descendirent d’un cran, ce qui était normal vu leur poids, mais aussi eurent tendance à s’échapper de part et d’autre du plastron. Étant toujours derrière elle face au miroir, je m’empressai de les rattraper de mes deux mains. Hum ! Délicieuse sensation que de tenir ces deux globes chauds, tendres et appétissants. J’en profitai pour les soupeser, les presser, et en saisir les pointes déjà bien érigées.
    
    — Mais… qu’est-ce que vous faites ?
    — Rien, je les mets en place…
    — Coquin…
    
    Elle cessa de protester, s’appuya contre moi et bascula sa tête sur mon épaule en fermant les yeux. Elle se laissa peloter langoureusement, je bandais comme un bourricot contre ses fesses. Puis elle tourna son visage vers le mien et nos bouches se happèrent dans un long baiser, tout en restant abandonnée à mes caresses.
    
    — Finalement, je crois que la ceinture est en trop, murmurai-je.
    
    Sans même le regarder, elle détacha le cercle de cuir rouge et le lança sur le lit. Je fis glisser les bretelles sur ses épaules, la salopette ...
    ... s’affala sur ses chevilles, ma main plongea sous la dentelle de la culotte et s’empara d’un mont de Vénus proéminent et gorgé de sucs comme un fruit mûr, mes doigts s’enfoncèrent dans une vallée profonde et déjà tout humide. Je baissai alors sa culotte à mi-cuisses et sortis mon sexe apoplectique pour le frotter contre et entre ses belles grosses fesses blanches. Elle ne cessait de gémir, je posai mon pantalon et mon slip pendant qu’elle se débarrassa complètement de sa dentelle. Je voulus l’entraîner sur le lit, mais elle protesta avec des yeux ronds :
    
    — Oh non, pas dans le lit conjugal…
    
    Respectant l’autel sacré où elle se sacrifiait à son mâle légitime, je me contentai donc de la mettre en appui sur le bois du pied de lit pour l’embrocher debout, répondant à l’urgence de mon impérieux désir de jeune mâle. Elle miaula, je la bourrai frénétiquement. Ses grosses fesses faisaient « floc-floc » contre mon ventre, nos sexes émettaient des bruits humides de succion, le bois de lit craquait en cadence, le reflet de ses gros seins ballottait en tous sens dans le miroir de l’armoire. L’image que je voyais était prodigieusement excitante : c’était comme un film porno, de ceux qu’on ne voyait que dans des salles spécialisées à cette époque sans Internet ni Canal+, autant dire jamais. Je lui fis remarquer :
    
    — Regarde, regarde tout ce qui rentre dans ton beau cul (je n’osais pas dire’gros »)…
    — Rhooooo ! Comme c’est beau… Tout ce que tu me mets mon petit cochon !
    
    Elle se tourna ...
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