1. Beautés rurales


    Datte: 15/02/2022, Catégories: fh, fhh, fplusag, inconnu, Collègues / Travail poilu(e)s, bizarre, campagne, collection, caresses, entreseins, Oral préservati, pénétratio, confession, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... poids des traditions et de la morale de nos parents et il n’était pas si simple de s’en affranchir.
    
    Dans mon patelin, par exemple, il y avait quatre pharmacies qui, avec le jeu des permanences, étaient connues de tous. Impossible dans ce contexte d’acquérir discrètement une simple boîte de capotes. Pire encore, la majorité étant encore à vingt et un ans, les filles devaient être accompagnées de leurs parents pour obtenir la fameuse « pilule anticonceptionnelle » qui n’était pas en vente dans tous les Monoprix, comme chantait Antoine. La liberté sexuelle se limitait donc le plus souvent à quelques attouchements, ou au mieux, à des fellations et des sodomies si la fille était très amoureuse. Du coup, ma quéquette venait de découvrir un univers de plaisirs fous et en restait boursouflée et sensible en permanence.
    
    L’institutrice
    
    J’étais encore loin d’imaginer la suite. Ce fut d’abord ce mot scotché à l’intérieur d’une porte vitrée sur laquelle je frappais en vain :
    
    —En cas d’absence, s’adresser à l’école.
    
    Je retournai donc au bourg, trouvai facilement l’école-mairie, et toquai à la porte du logement de fonction sur l’indication de la secrétaire de mairie. Pas de réponse, mais le vrombissement caractéristique d’un aspirateur. La porte n’étant pas verrouillée, j’entrai à demi en hurlant :
    
    — Y a quelqu’un ?
    
    C’est « quelqu’une » qui vint me répondre, dès que l’avaleur de moutons se fut tu. Une apparition dans le soleil du matin : une grande fille blonde aux ...
    ... cheveux courts, pieds nus et seulement vêtue d’une longue liquette bleue ornée de petits éléphants. Hanches arrondies, pointes de seins cherchant à perforer le coton, joli minois, je restai pantois et tout intimidé.
    
    — Je… J’ai trouvé un mot… Je venais voir…
    — Oui, bien sûr, vous venez de la ferme et vous vouliez voir mon ami. Mais à cette heure, il est aux champs.
    — Excusez-moi… Quand est-ce que…
    — Entrez, entrez, et excusez ma tenue, je n’attendais pas de visites, je suis en plein ménage d’été, fit-elle en souriant.
    
    J’entrai et la suivis au salon où gisait l’aspirateur dans un coin. Les meubles étaient en partie déplacés, visiblement c’était grand ménage.
    
    — Vous voulez un café ? J’en ai bien envie…
    — Volontiers, merci…
    — Attendez de l’avoir goûté, vous ne direz peut-être plus merci après, dit-elle en riant.
    
    Elle s’éclipsa, je la regardai s’éloigner vivement, trottinant sur la pointe des pieds, j’admirai son joli fessier bien discernable sous le coton, perché sur des cuisses et des mollets musclés. Comme tout cela devait être ferme ! … Décidément, je ne m’attendais pas à avoir des relations avec les personnels de l’Éducation nationale en vendant des engrais ! Je me sentais poursuivi par le métier, même dans un autre job. Mon hôtesse revint très vite avec deux tasses fumantes, prouvant que la cafetière du matin était restée allumée, tenant le reste de café au chaud. Et c’est vrai qu’il n’était pas fameux, recuit. Elle posa les tasses sur une table basse, remit en ...
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