1. Monsieur, Marianne et moi (2)


    Datte: 12/02/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Anthynéa, Source: Xstory

    ... peur de tes réactions. Mais si c’est un jeu partagé…
    
    — Il te fait mal ?
    
    — Mal ?
    
    — Oui ! Il se contente de te fesser ou de te cravacher le bas des reins ? J’ai vu les marques une fois sur tes épaules…
    
    — Oh ! Ça ? C’est juste un amusement qui me plait et c’est souvent moi qui… tu vas me trouver idiote, c’est moi qui lui réclame… mais tu verras, si tu es effectivement comme moi, tu vas aussi devenir vite accro. Mais je pensais que tu m’avais dit que tu étais… toujours vierge.
    
    — Je le suis toujours. Il ne m’a pas touché, juste des claques sur les fesses et fait quelques recommandations…
    
    — Je vois… pas de culotte sans doute et le sexe rasé…
    
    — Oui ! Ça ne me dérange pas plus que cela… j’ai moins apprécié les « dim-up »…
    
    — Moi non plus, je ne les supporte pas. Je mets un porte-jarretelle pour éviter les démangeaisons.
    
    — Je n’en ai pas et j’ai toujours cru que ce genre de machin était… ringard…
    
    — Les hommes aiment ces fanfreluches… Bertrand s’imagine que c’est lui qui mène la danse, mais en fait… nous les femmes, avons tellement de ressources. Et c’est toujours en dernier ressort nous qui décidons, bien que nous donnions l’impression qu’ils sont les décideurs.
    
    — … pas conne ta théorie… une idée à creuser.
    
    — Rien ne t’oblige à te laisser faire par lui, si tu n’en éprouves pas le besoin, voire l’envie.
    
    — Ben… il n’est pas si mal comme mec… et pour une première fois, lui ou un autre… peu importe le flacon pourvu que j’ai l’ivresse…
    
    — Alors à mon ...
    ... avis tu vas être servie et très bien même.
    
    Bertrand finit sa conversation et il revient vers nous alors que nous attendons près de son véhicule.
    
    — Ça va les filles ? Vous avez apprécié le début de soirée ? Le reste pourrait aussi être excellent pour peu que vous y mettiez du vôtre.
    
    Nous n’avons pas à répondre et maman s’assoit près du chauffeur alors que je prends place à l’arrière sur la banquette. Il me rattrape par la voix.
    
    — Aline, mets-toi au centre du siège et comme ta mère… les jambes ne doivent plus se toucher… c’est la première leçon pour une appartenance totale… future.
    
    — oooOOooo —
    
    Marianne et Bertrand se sont embrassés. À peine descendus de la voiture, il l’a prise dans ses bras et pendant que je débloque la porte d’entrée, ils se roulent une pelle à deux mètres de moi. Tout le long du court trajet, il lui a mis la main entre les cuisses. Elle s’est laissé faire, ronronnant comme une chatte en chaleur. Ni lui ni elle ne se sont souciés de ma présence à l’arrière. J’ai donc dû subir visuellement ces attouchements. Je reste persuadée que c’est volontairement que ce type a tripoté maman devant moi.
    
    Je suis entrée la première et me réfugie dans ma chambre immédiatement. Il m’a suivi, mais je lui ai claqué la porte au nez. Apparemment, il n’insiste pas. Dans la chambre qui fait face à la mienne, les bruits que je distingue sont, on ne peut plus suggestifs. Je suis certaine qu’il passe sa rage sur le cul de maman ! Elle crie, mais ses hurlements ne ...
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