Séduction délicate de la soeur de ma mère (34)
Datte: 30/01/2022,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Bruce75, Source: Xstory
... mes mouvements circulaires à l’intérieur de sa cuisse) mais tu l’as dit toute à l’heure, on s’entend bien tous les deux, c’est pas le principal ? lui demandai-je.
— Oui, je dois reconnaître qu’avec toi, on ne s’engueule jamais, tu es un gentil garçon (j’en profitai pour défaire le haut de son deux pièces) et si j’ai bonne mémoire, je t’avais fait une promesse hier (elle retira elle-même son vêtement avec une assurance retrouvée) hé... tu ne vas pas garder ton caleçon ? Tu fais comme moi et on sera à égalité ! s’exclama-t-elle avec un brin d’humour.
Cette fameuse promesse s’assimilait à une vaste comédie, comédie dans laquelle Véro figurait en bonne place au générique. J’avais beau m’être déshabillé, elle me volait aisément la vedette. Elle avait endossé le rôle de la garce et en jouait habilement. Ma blonde d’1m72 s’était entendue sur les draps et avait pris soin de placer un oreiller sous sa tête. Je contemplais son corps entièrement nu et je ne bougeais plus, paralysé par son attitude. Force fut de reconnaître dans l’instant présent de m’accorder les circonstances atténuantes. En effet, la maman de Jules et Oscar, sans oublier Hugo, respirait profondément, creusant ainsi son ventre. Ses côtes apparaissaient à chaque inspiration, lui conférant un aspect hautement érotique. Véro ne faisait pas les choses à moitié et se caressait le bas-ventre, me signifiant son entière disponibilité à mon encontre.
A la vue de cette femelle quasiment en rut, mon imbécile de sexe ...
... s’écria sans réfléchir - à l’attaque ! -. Après une sévère réprimande, le jeune chiot ferma sa gueule. En me mettant accroupi, ma belle quadra devina mes ambitions et se mut au bord du lit en conservant les jambes repliées. Elle en profita pour m’adresser une remarque pertinente.
— T’es à genoux comme moi hier soir, c’est marrant, on dirait qu’on a inversé les rôles (mes valets, alias mes mains avaient enveloppé ses cuisses et les caressaient sans cesse) Patrick, on ne fait pas de bruit, il ne manquerait plus que les gosses nous entendent. Me murmura-t-elle en se décidant à disperser ses longues jambes.
— Chut ma belle. Lui dis-je en parsemant de bisous sa peau douce.
— Je ne me suis pas rasée depuis une semaine, mais je suppose que ça ne te dérange pas (elle écarta davantage ses formidables guiboles, affichant clairement sa féminité) humm... j’aime quand tu commences comme ça, t’es vraiment unique en ton genre. Me complimenta-t-elle sur ma façon de la stimuler avant l’acte proprement dit.
— C’est la première fois que tu m’en parles (ma langue, ayant pris le relais des bisous, opéra une séduction subtile sur le duvet de sa vulve) à t’entendre, t’as connu que des mecs pressés qui ne pensaient qu’à eux. Prétendis-je.
— Oui, si on veut... M’avoua-t-elle à demi-mot.
Véronique avait vécu avec Jacques durant une bonne quinzaine d’années et d’après mes calculs rapides, elle s’était certainement mariée vers 24 ou 25 ans. D’après sa remarque flatteuse à mon encontre, ...