1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (34)


    Datte: 30/01/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory

    ... la joue pour une simple bise) oh là là j’ai un mal de crâne ce matin, le café va me faire du bien (elle prit son bol à deux mains, puis avala deux grandes gorgées) bon. Rajouta-t-elle simplement en s’essuyant les lèvres.
    
    — Avec Jules, on est en train de monter son armoire, je vais y aller, on a presque terminé.
    
    — Attends cinq minutes (elle bâilla aux corneilles et mit sa main devant la bouche) excuse-moi, je ne suis pas très réveillée... on est rentré tard, très tard (elle me caressa l’avant-bras et prit une mine boudeuse) pfff... quand je pense à hier soir, j’ai été complètement folle (elle me regardait avec un air songeur) en tout cas, t’es pas prêt d’oublier ce que j’t’ai fait. Me confia-t-elle en secouant la tête de gauche à droite.
    
    — T’as pris de l’aspirine ? lui demandai-je sans relever sa remarque au sujet de notre étreinte buccale.
    
    — Oh oui... eh c’est sympa pour l’armoire de Jules, il en rêvait tant et il paraît que c’est pas évident à assembler, en plus le mode d’emploi est nul, enfin (elle termina son café et se leva pour le rincer dans l’évier) écoute, pour midi, je fais un poulet-frites et maintenant, je vais prendre un bon bain, ça me remettra d’aplomb. M’informa-t-elle en essuyant sa tasse.
    
    — OK, Jules, tu viens ? m’écriai-je.
    
    Je décidai de m’abstenir de tous commentaires, notamment concernant sa promesse faite la veille. En effet, durant la soirée d’hier soir, Véro m’avait déclaré que je pourrais la baiser dès le lendemain matin, selon ses ...
    ... propres termes. Elle avait osé rajouter qu’il me suffirait de le lui demander. Vague promesse sans grande valeur et dit sous l’effet de l’alcool pensai-je légitimement. Ma grande blonde ne demanda pas son reste et se dirigea vers l’étage avec une démarche nonchalante.
    
    En fin de matinée, la fameuse armoire trônait dans la chambre de mon cousin, lequel s’amusait à ouvrir et fermer les portes pour juger du bon fonctionnement de celles-ci. Dans la pièce d’à côté, j’entendais le bruit d’une baignoire se vider. Véro avait sans doute terminé et devait se sécher le corps. L’idée séduisante d’en avoir le cœur net m’effleura l’esprit, tout autant que la maladresse de violer son intimité.
    
    Les garçons et moi avions mis la table. Le poulet tournait sur la broche et j’avais enfourné les frites. Véronique nous avait rejoints et arborait un tee-shirt blanc. Fait rare pour un week-end, elle avait mis une jupe courte flanquée d’escarpins. D’un coup de balais, elle avait renvoyé la quadra négligée de ce matin et en s’emparant de la planche à découper, elle affichait une énergie retrouvée.
    
    Mes cousins plongeaient leurs nez dans les assiettes et mangeaient tels des ogres. A l’instar de ses frères, Hugo prenait de grandes cuillerées tendues par sa mère. Aussi vite, ils débarrassèrent leurs assiettes pour demander poliment de sortir de table. On aurait dit qu’ils avaient un train à prendre. Qu’importe, ils étaient dans leur petit monde et une fois Hugo installé pour sa sieste au salon, je me ...
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