Séduction délicate de la soeur de ma mère (34)
Datte: 30/01/2022,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Bruce75, Source: Xstory
Si vous avez manqué le début.
Je m’appelle Patrick et je travaille à Marseille. J’entretiens une relation intime depuis deux ans avec ma tante Véronique, très BCBG, sœur de ma mère Anne.
Elle a 44 ans, divorcée avec 2 enfants de 10 et 12 ans.
Nous avons eu un petit garçon prénommé Hugo, qui vient d’avoir un an en janvier. Ma mère ne parle plus à sa sœur, depuis qu’elle a appris notre relation et dorénavant, je ne rends visite à mes parents que de manière occasionnelle.
Nous sommes rentrés tard d’une soirée bien arrosée et nous voici dimanche matin.
Dès huit heures, des bruits d’assiettes me réveillèrent. A pas feutrés, je quittai la chambre pour me rendre en bas dans la cuisine.
Oscar avait préparé le biberon de son demi-frère Hugo et Jules se versait son chocolat. Surpris de ne pas voir leur maman, je leur expliquai que nous nous étions couchés tardivement et que pour l’instant, elle dormait tranquillement. Le petit-déjeuner terminé, nous rangions les tasses quand Jules, le cadet insista pour me montrer son armoire commandée chez un fabricant suédois. En ouvrant le carton, je découvris des panneaux de bois à assembler, des chevilles et une multitude de vis.
Pour plus de tranquillité et après avoir pris nos douches, nous nous installions dans la maisonnette. Cette dernière se situait à une vingtaine de mètres de l’entrée principale. Parfaitement adaptée pour satisfaire à des besoins de bricolage, elle bénéficiait de l’électricité sans être pourvue de ...
... chauffage. Nous entreposions les transats pour l’occasion et le matériel de jardinage.
Nous lisions scrupuleusement la notice de montage, tout en gardant notre calme. Mon petit cousin, Jules, trop heureux de voir son armoire prendre forme progressivement, se montrait obéissant, mais pressé d’en finir. Tout au long de la matinée, nous enchaînions sur les portes et les étagères à assembler. Je lui confiais des tâches afin de le responsabiliser et après deux longues heures de labeur, nous parvenions enfin à ouvrir une porte. Le petit laissa éclater sa joie et je tempérai son enthousiasme, car le transport vers sa chambre s’annonçait périlleux.
En nous dirigeant vers la cuisine pour une pause coca méritée, la maman de Jules apparut au bas de l’escalier. Avec les traits tirés et les cheveux en bataille, elle venait de se réveiller, peinant à marcher. De plus, elle avait noué à moitié sa robe de chambre, preuve qu’elle n’était pas totalement dans son assiette. Jules embrassa sa maman et en profita pour s’éclipser illico. Je l’interpellai néanmoins au sujet de son armoire, lui lançant au passage que j’aurai besoin d’aide. Il me répondit - t’inquiète - en cavalant dans les escaliers. Sa mère bien silencieuse, bailla un grand coup.
— Ça t’embête de me remplir mon bol Patrick ? Maintenant que je suis assise, je n’ai plus la force de me lever. Me dit-elle en dépliant sa serviette.
— Bonjour ! m’exclamai-je en lui versant son remontant.
— Bonjour...(elle se contenta de tendre ...