1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (34)


    Datte: 30/01/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory

    ... rappela à la raison, les mains sur les hanches.
    
    — Tu m’écoutes ou quoi ? S’agaça-t-elle.
    
    — Euh si...(estimant le fauteuil trop étroit, je quittai ma place) tu voulais le jeter, c’est ce que tu disais. Lui répétai-je bêtement en étant désormais près d’elle.
    
    — Oui, mais j’ai comme l’impression que je ne vais pas le garder très longtemps ! présuma-t-elle, lucide quant à mes intentions.
    
    Je regardais mes propres mains comme un étranger. Elles se permettaient d’effleurer ce corps jusqu’alors interdit. Elles opéraient de larges caresses sur ses flancs, enchantées par ce contact charnel. La belle quadragénaire observait ce ballet incessant, flattée de se sentir tant désirée. Mes deux valets la courtisaient en multipliant leurs gestes et à chaque fois, ils s’attribuaient des parties différentes de son anatomie. Tantôt, l’un se plaisait à parcourir la base de son fessier, tantôt l’autre le narguait en s’octroyant son ventre plat. La jolie blonde se laissait faire en fermant brièvement les paupières, preuve qu’elle appréciait l’attitude libertine de ses courtisans. Désormais conquise, elle ne se privait pas de soupirer et me lançait des regards bavards.
    
    A son tour, elle m’enlaça le cou, m’encourageant à continuer et à lui souffler des mots doux. A sa mine boudeuse, je les remplaçai par des mots plus significatifs.
    
    — T’es super canon ma Véro (mes fidèles valets s’étant occupés des nœuds de son maillot, il ne lui restait plus que le haut) tu as eu une excellente idée de ...
    ... les essayer.
    
    — Quand il s’agit de mettre à poil, c’est rarement une mauvaise idée. Me rétorqua-t-elle en jetant un coup d’œil au morceau de tissu, gisant à ses chevilles.
    
    — Pas faux ma petite tatie, mais celui-là, tu le gardes de côté (elle hocha de la tête et me fit un baiser sur la joue) houlà, toi t’aimerais que je prenne soin de toi, viens un peu par là. La commandai-je en l’entraînant vers le lit.
    
    — T’as pensé à fermer la porte ? s’inquiéta-t-elle subitement.
    
    — Attends, je vais voir (en m’éloignant pour vérifier, sa pudeur maladive reprit le dessus) c’est bon, elle est fermée à clef (en me voyant me déshabiller, elle baissa les yeux pour fuir la réalité) assieds-toi au bord du lit Véronique, tu seras plus à l’aise. Lui conseillai-je, en ayant conservé mon caleçon afin d’éviter de la choquer.
    
    — Euh oui...(elle avait perdu de son assurance et s’était déchaussée au plus vite pour s’asseoir) Patrick, ça me gêne un peu, mes enfants sont en bas devant la télé pendant que... (elle était recroquevillée sur elle-même, les jambes serrées) tu vas encore dire que je me plains ou que je pense trop. Se lamenta-t-elle avec une voix morne.
    
    — Ta réaction est normale (je m’installai à ses côtés, ma main campée sur sa cuisse) t’as des moments de culpabilité, alors que moi, c’est différent (intriguée, elle me regardait attentivement) quand je suis avec Oscar ou Jules, je me sens nul, je leurs mens en leurs racontant n’importe quoi (elle avait desserré ses jambes du fait de ...
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