1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (34)


    Datte: 30/01/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory

    ... j’en déduisis qu’elle n’avait pas connu beaucoup de partenaires durant sa vie. Pourtant, mignonne comme elle était, les prétendants auraient dû être nombreux, mais cela ne m’étonnait qu’à moitié. En effet, Véro ne m’avait jamais caché sa timidité, ainsi que son manque d’initiative. En revanche, elle savait ce qu’elle voulait et au fur et à mesure de notre relation, j’arrivais à percer sa véritable personnalité au gré des indices qu’elle osait me dévoiler. Fin du chapitre.
    
    Gâtée par la nature, j’apparentais le sexe de ma tante à un schéma quasi parfait dispensé dans les cours de médecine. Il ne présentait à mes yeux aucun défaut, avec des lèvres légèrement charnues et d’un rose éblouissant. Ainsi, cette normalité gommée de toutes imperfections renforçait cet émerveillement que j’éprouvais. Sa propriétaire s’en était offusquée à maintes reprises, sans succès. Moralité, je prenais un pied pas possible à lécher le sexe de la petite sœur de ma mère, nonobstant ses protestations.
    
    — Minch’... t’es encore en train de me contempler (mon index sillonnait sa fente inlassablement) un jour, il faudra que tu m’expliques ce que j’ai de plus que les autres femmes ! (mon doigt tournoya sur son point culminant, engendrant une montée de plaisir irrésistible) oooh... ooh seigneur... Gémit-elle en soulevant son bassin.
    
    — Qu’est-ce que je peux aimer te lécher Véronique ! m’écriai-je en collant ma bouche à sa vulve tout entière.
    
    — Et moi donc ! (sans se soucier de sa pudeur, elle leva ...
    ... les jambes afin de se faire déguster plus profondément) ooh oui... j’adore, j’adore... Répéta-t-elle en se tortillant.
    
    Ma langue s’activait entre son vagin et la crête de sa féminité. Ma grande blonde n’en pouvait plus et haletait sans cesse, la bouche grande ouverte. Je ne la lâchais plus, au point de la voir se raidir inondée par une jouissance peu commune. Sa rivière à diamants était en crue et ma bouche trempée pouvait en témoigner.
    
    Poussée dans ses retranchements, elle se crispa sous l’effet de ma langue, laquelle frétillait habillement à l’intérieur de son orifice précieux. Perdue dans son monde, elle saisit mon poignet et ferma les yeux. Sans suivre ses propres recommandations, elle émit un long râle significatif de sa béatitude.
    
    — Hann... Patrick, Patrick...(désormais, elle me tenait la tête avec les deux mains et ondulait son bassin) comme j’aime ! comme j’aime quand c’est toi ! Hrrr... Grogna-t-elle en me plaquant le visage contre sa féminité d’une manière autoritaire.
    
    — C’est bien ma belle, ma toute belle (elle se mit à gémir intensément avec mes paroles encourageantes) laisse-toi aller avec moi, jouis ma Véro à moi, jouis doucement. Lui murmurai-je en lui prodiguant de grandes caresses sur sa poitrine.
    
    — Oui, oui... tu me fais un bien fou (ses contractions commencèrent à s’espacer et elle me libéra le visage) oh mon Dieu !... oh oui...(elle releva péniblement sa frimousse pour me parler) hou ! il va, attends... attends une minute (après avoir repris ...
«12...91011...26»