1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (34)


    Datte: 30/01/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory

    ... ne pouvais pas lui en vouloir et cela donnait un certain piment quand elle allait se présenter.
    
    Pas si pudique finalement, elle avait conservé ses escarpins bleus. Je lui avais fait plusieurs fois la remarque, estimant qu’en étant chaussée avec des talons, je la trouvais explosive à mes yeux. Elle l’était, avec le bruit de l’explosif en moins. Fière de son effet, elle s’enquit immédiatement auprès de moi. Le coup des pompes était réussi, mais le maillot n’avait pas résisté au temps, vieillot, démodé, donc poubelle. J’avais aperçu dans son fourbi un ensemble à la couleur identique de ses chaussures. Véronique, nullement découragée me mit en garde.
    
    — Je l’avais zappé et ça m’étonnerait que ça te plaise, en plus il y a des nœuds et c’est plus tellement à la mode (elle tenait le bas suspendu, pour m’indiquer la présence de ficelles de chaque côté) évidemment, sur les côtés, ça fait un peu string (elle l’avait dans les mains et se savait observée) euh... je l’essaie quand même. Dit-elle en refermant une nouvelle fois la porte.
    
    Elle avait enfoncé un clou, gros. Rehaussée de plusieurs centimètres avec les talons, ma grande blonde s’était révélée purement irrésistible et sa grande taille n’arrangeait rien à l’affaire. Sa silhouette en était devenue sculpturale et à cet instant précis, j’avais en tête une avalanche de mots. J’étais perdu dans mes pensées et j’avais hâte de connaître la suite. Je ne tenais plus en place et rien qu’à l’idée de savoir qu’elle allait à nouveau ...
    ... sortir, je me comportais comme un gosse attendant son quatre heures. Mon tempérament habituellement calme s’était substitué pour faire place à un caractère impétueux, voire exigeant.
    
    La porte s’entrouvrit. Véronique avait poussé le vice jusqu’à revêtir sa robe de chambre, me garantissant un suspense insoutenable. Comme dit précédemment, ma tante possédait un petit côté allumeuse et en jouait fort bien. Elle s’infantilisait avec facilité, employant un timbre de voix puéril.
    
    — D’abord tu ne te moques pas (elle prit sa ceinture et la dénoua lentement) et tu me dis franchement si ça me va ou si je suis démodée (je ne l’écoutais plus vraiment) bon, alors attention ! (sa robe glissa tout le long de son corps pour échouer au sol) alors Patrick, han... tu veux bien me dire ce que t’en penses ?
    
    Rien, rien n’entravait la perfection de son corps. En choisissant ce deux pièces, je n’avais pas prêté attention à ce cocktail détonnant entre sa peau laiteuse et à cette couleur bleue. J’étais littéralement ébloui par la fraicheur qu’elle dégageait. Elle affichait crânement ses 44 balais et remballait allègrement les gamines de 20 ans. Mes souvenirs d’ado pubère m’arrivaient en bloc. Celle que je croyais intouchable, celle que j’avais posée sur l’autel de l’impensable se dandinait devant moi presque nue. Elle me souriait, sachant pertinemment l’effet qu’elle me procurait. Mon sexe, alerté par son petit ménage ne m’obéissait plus et réclamait son dû. Tout s’embrouillait et Véronique me ...
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