Contraindre sa mère (2)
Datte: 26/01/2022,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Poivreetsel, Source: Xstory
... rondelle céder un à un. Elle s’ouvre, son cul s’ouvre. Lentement, très lentement je la pénétre. Je défonce le cul de ma mère, une sensation de puissance, de domination. Je la pénétre, en m’arrêtant quand je la sens me résister. J’attends qu’elle m’accepte, gagne quelques millimètres, un centimètre. Elle se mord la main. Étouffe ses gémissements. Je ne bouge plus. C’est elle qui me donne le signal en ondulant du bassin, en donnant des coups de reins pour mieux s’empaler sur ma bite. Mes doigts crochetés telles des serres dans la chair de ses fesses, je la pilonne. Je l’encule. J’ai gagné.
—Quelle salope tu fais. Ton cul est aussi défoncé que celui d’une vieille pute.
Nadège
C’est la première fois que je me fais enculer de cette façon sans préparation. Il est autoritaire et doux à la fois. Avant chaque rapport, je me prépare, pour le confort de mon partenaire et le mien, en me lubrifiant le cul. De cette façon, si mon partenaire comme souvent cela arrive, a envie de m’enculer je suis prête. J’aime être prise comme ça, douleur et plaisir se mélangent.
J’ai à peine sentie qu’il me sodomisait, l’amour avec lequel il le fait est puissant. Je me sens belle et aimée passionnément. J’ai envie qu’il me prenne avec rage, envie qu’il me morde, qu’il me griffe, qu’il me serre, de ne faire qu’un. Je lui fais confiance et me livre, je lâche prise et je n’ai qu’une envie, me faire enculer au sens premier du terme. Il est en moi, de toute sa longueur il me remplit. J’ai la ...
... sensation d’avoir en moi une barre de métal en fusion. Je me sens chienne. Ses insultes sont des coups de fouet. Elles accentuent mon plaisir. Ses coups de boutoir sont de plus en plus puissants. Son ventre claque contre mon cul. Ses couilles battent contre ma chatte. C’est bestial. Il me fesse, me corrige, me dresse, me mate. Je suis sa chose. Je ne veux pas que ça s’arrête, mais à la fois je crève d’envie qu’il me souille le cul, qu’il se soulage en moi. Jetant rageusement mon cul contre lui, je l’encourage.
-Plus fort mon chéri. Bourre-moi. Encule ta pute. Ne t’arrête pas. Oui, encore. Crache ta purée. Inonde moi. Rince moi le cul.
Quand il fuse en moi en longs et généreux jets, je crie mon plaisir. Rageur, il se vide en moi en donnant de lents, mais furieux et profonds coups de reins. J’hurle. Je suis en sueur, ravagée par l’onde de plaisir qui me traverse. Je tombe à terre, à ses pieds. Je me recroqueville, en position du fœtus, une main entre les jambes. Je gémis, une longue plainte incontrôlée. Le rale d’une bête blessée. De longues minutes. De la pointe du pied, il m’oblige à rouler sur le dos. Je le regarde, je le trouve beau. Il a repris la badine. Il la glisse entre mes jambes. m’oblige à les écarter. Il tapote l’intérieur de mes cuisses. Ca pique. Je sens la badine contre ma chatte. Je lui jete un regard suppliant. Un coup léger me fait crier.
—Je ne veux pas t’entendre.
Je me mords les lèvres. Je gémis doucement sous le deuxième coup. Il n’est pas brutal. ...