Contraindre sa mère (2) - Histoires de Sexe

Contraindre sa mère (2)

... père. Je ne veux pas tout perdre.

< Ce petit con ne peut pas te faire chanter. C’est sa parole contre la notre.

> Il nous a surpris cette après-midi et a fait des photos

< Accepte ses conditions. Je ne veux pas d’ennuis.

> Salaud. Tu es un lâche. Je te croyais plus courageux.

Je suis effondrée par sa lâcheté. Mon fils qui lit nos échanges est impitoyable envers moi.

Il t’a bien eue ce salaud. Il t’a pris pour son vide couilles. Avec une pute, il aurait été plus élégant. Sortons. Allons prendre l’air, tu en as besoin.

Mon monde s’écroule autour de moi. Je suis perdue. Au bord de la nausée. L’air frais du parc me fait du bien. Antoine a exigé que je laisse ma culotte comme pourboire.

Antoine

Je suis un homme heureux. Je suis arrivé à contraindre ma mère. J’aperçois sa silhouette au bord la terrasse desserte. Elle est bandante dans cette robe. Mais elle va devoir la retirer, j’ai trop envie de profiter d’elle. Je m’approche.

-Ca va maman ?

-Comme tu peux t’en douter, j’ai connu mieux comme situation. Mon fils m’oblige à rompre, menace de foutre en l’air mon couple déjà bien fragile. En plus, il m’oblige à me balader le cul nu. Oui chéri ça va. Même si je m’attends au pire maintenant.

Je pose une main sur son cul. L’oblige à se diriger vers une allée qui se perd dans le parc boisé de l’auberge. La nuit est chaude et claire. C’est la pleine lune. Tout en nous engageant dans l’allée, je pelote ce cul tant désiré. Elle ne se dérobe pas, au ...

... contraire. Elle ondule sous la caresse, s’y prête. Nous sommes assez éloignés pour qu’enfin je puisse profiter d’elle.

—Je te veux à poil.

—Ici ? Maintenant ?

Elle est surprise par ma soudaine demande.

—Oui, ici. Et pas dans dix ans.

Elle s’exécute. Sa robe tombe à ses pieds.

—À poil, j’ai dit. Tu ne gardes que tes chaussures

Son soutien-gorge rejoint la robe. Je suis face à elle. Je lui caresse le visage, ma main descend le long de son cou, vers sa poitrine. J’effleure ses seins.

-Tu as de sacrés nichons. Tu es belle ma pute.

Je tourne autour d’elle. Ma main caresse ses fesses. Une claque résonne dans le silence de la nuit. Elle crie de surprise.

—C’est quoi ces traces sur ton cul ?

—Tu le sais.

Une nouvelle claque.

—Réponds.

—Les traces d’une fessée. Tu le sais, tu étais aux premières loges lorsque je l’ai reçue. Tu as l’intention de m’humilier encore longtemps ?

—Tu es ma pute, je fais de toi ce que je veux. Tu as déjà goûté à la cravache ?

—Non.

—Tu aimerais ?

—Pourquoi pas si tu contrôles tes coups.

Je suis surpris par sa réponse. Elle semble plus docile que je ne le pense.

—Je n’ai pas de cravache. On va essayer la badine.

—La badine ?

J’ai un peu de mal à couper une branche souple. J’arrive à mes fins. Devant elle, je retire une à une les feuilles. Je la vois sourire quand elle comprend.

-Va-y doucement.

—Ne t’inquiète pas petite pute. Je veux juste poser mes marques sur ton joli cul. Effacer les marques ...