1. Contraindre sa mère (2)


    Datte: 26/01/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Poivreetsel, Source: Xstory

    ... de l’autre.
    
    Je fais siffler la branche dans l’air.
    
    —Avance.
    
    —Mes affaires ?
    
    —Avance.
    
    La voir avancer sous la lumière de la lune m’excite. Voir ses fesses trembler au rythme de ses pas, ses nichons vibrer au rythme de ses pas, de sa respiration. J’effleure son cul avec la branche. Elle frémit. La savoir à ma merci me provoque une érection.
    
    —Appuie-toi à ce banc. Cambre toi. Donne moi ton cul de pute.
    
    Penchée, appuyée sur le banc, nichons pendants, elle s’offre à mon regard, à mes désirs les plus fous.
    
    Elle crie sous le premier coup de badine. Elle piétine de douleur. Elle se dérobe par réflexe, stoïque elle se remet en place. Je lui masse les fesses avant de les cingler d’un nouveau coup.
    
    La punition est méthodique, contrôlée. Son cul est zébré. Satisfait, j’arrête. Je masse ce cul de salope pour atténuer la brûlure des coups. Mes doigts se font plus impétueux, plus curieux, se glissent entre ses fesses épanouies, chatouillent son œillet. Descendent vers sa chatte, sans la pénétrer je sens la moiteur de sa grotte.
    
    —Ma pute est une belle vicieuse. Elle aime souffrir. Je vais bien m’amuser avec toi.
    
    —Arrête de me chauffer. Baise-moi. Baise ta pute.
    
    Nadège
    
    Avachie sur un banc du parc, j’implore mon fils, mon propre fils à me baiser. Jusqu’où ma crainte de tout perdre va me mener. Quelle compromission je vais accepter. Quel pire avilissement puis je atteindre que de me faire mettre par mon fils. Le pire est que je prends du plaisir à me ...
    ... prêter à sa perversité. Je prends du plaisir à ce que les hommes m’utilisent.
    
    —Arrête de me chauffer. Baise-moi. Baise ta pute.
    
    Le bruit de la boucle de son ceinturon. Le bruit du tissu de son pantalon. La chaleur, la dureté de sa queue qui descend le long de ma raie du cul. Son gland qui écarte mes chairs les plus intimes. Je le reçois dans ma chatte. Je feule comme une bête en chaleur. Il s’empare de mes nichons, il s’en sert comme poignées. La douleur accentue mon plaisir. Je me cambre, m’offre. Il me pilonne. Il me secoue. Il me massacre. Il m’insulte. Je crie mon plaisir à gorge déployé. Mes cris résonnent sous la voûte des arbres. Je m’affale sur le banc, comme un sac de farine. Je perds la notion du temps, je gémis sans discontinuer. Il est toujours raide en moi. Je grogne de frustration quand il sort de ma chatte. Je veux qu’il reste en moi, je veux le sentir, encore et encore. Quand je comprends ses intentions, je proteste mollement, sans aucune conviction mais avec appréhension.
    
    —Non. Pas comme ça. Ne m’encule pas, tu es trop gros, je ne suis pas préparée. Tu vas me déchirer. Pas maintenant, pas ici.
    
    Je sens son souffle contre mon œillet, je sens un filet de salive couler entre mes fesses.
    
    Antoine
    
    Je me redresse. Ne tenant pas compte de sa supplique, me tenant d’une main, je pose mon gland contre sa rondelle. Inexorablement, je force son passage étroit. Lentement, son cul s’ouvre. Elle gémit, inerte, passive. Elle me subit. Je sens les anneaux de sa ...
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