1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : forêt et dérapage


    Datte: 21/01/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... se voit ? Qu’on en parle ? Ne fais pas de folies, mon Olga !
    
    • Je sais ce que je fais. Je t’expliquerai et je serai ce soir à la maison. Demain, comme prévu, nous serons ensemble. Ne t’inquiète pas. Je t’aime !
    
    Agun était inquiète, mais n’a pas osé insister. Une fois que nous avions raccroché, je me suis préparée.
    
    Quelle tenue choisir pour ce qui était de ma part une sorte de chasse ?
    
    J’ai alors choisi une tenue similaire à celle que je portais, près de neuf ans auparavant, lorsque j’avais rencontré Rachid (voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (10) : Rachid et Olga » 1er janvier 2017) : une jupe courte, un mini string blanc, des bas noirs. J’ai choisi un chemisier décolleté, pas de soutien-gorge. En 2007, je ne m’étais pas rendue compte qu’un tel chemisier était assez translucide et laissait voir mes seins sous le tissu. Cette fois, je le savais et je le portais en connaissance de cause.
    
    Prenant soin de mon corps et de ma ligne, je pouvais, neuf ans après et malgré trois grossesses, porter la même tenue. La différence était que cette fois je n’ignorais pas l’effet que cela devait produire sur des hommes. Je voulais vérifier si mon pouvoir de séduction était toujours le même. Volontairement, je n’ai pas pris avec moi de préservatifs. Je recherchais délibérément une aventure, un adultère et j’étais décidée à m’offrir entièrement, sans protection, en sachant que je prenais, à la demande de Philippe qui ne voulait pas alors d’un ...
    ... autre enfant, une pilule contraceptive.
    
    Après m’être soigneusement maquillée et avoir choisi un parfum discret, je me suis rendue en début d’après-midi dans une galerie commerciale, à la périphérie de la ville.
    
    LA CHASSE ET LA PROIE
    
    Je faisais semblant de m’intéresser aux vitrines, de faire des essais, mais je n’étais pas venue pour faire du shopping. Je marchais lentement, d’autant plus que j’avais choisi de porter des chaussures avec talon-aiguille, ce qui ne pouvait qu’attirer l’attention sur mon cul mis en valeur dans cette jupe serrée.
    
    Je n’ai pas eu à attendre bien longtemps.
    
    Je venais de passer, dans cette galerie, devant un bar où se tenaient deux jeunes hommes, d’une vingtaine d’années. Je passais à leur hauteur et, alors que je leur adressais mon plus beau sourire, j’ai entendu :
    
    • Antonio, t’as vu cette meuf ?
    
    • Ouais, Daniel. Wouah, quel cul elle a ! Dis-donc, cette jupe, ras-les-fesses !
    
    • Je l’ai bien maté, quand elle est passée lentement. Je te dis qu’elle n’a pas de soutif !
    
    • Si tu veux mon avis, elle est là parce qu’elle a le feu au cul
    
    • T’as raison, laisse-moi faire, je vais lui parler !
    
    Celui qui s’appelait Daniel s’est levé et s’est approché de moi :
    
    • Bonjour Mademoiselle. Je m’appelle Daniel et mon copain c’est Antonio.
    
    • Bonjour, je m’appelle Olga. Vous êtes flatteur. Je ne suis plus une demoiselle, je suis mariée et mère de famille.
    
    • Il a de la chance, votre mari. Vous êtes superbe.
    
    Daniel me dévisageait et ...
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